✑ Les archives du blog de FANTASY d'avril 2012 de Catherine Boullery

Les Archives du blog de #fantasy d'avril 2012
tome 1 - Aila et la Magie des Fées

La saga d'Aila  fantasy


fantasy

Note : 4.6 / 5 avec 283  critiques

Les archives du blog de fantasy d'Aila d'avril 2012

30 AvrilUne journée chargée ? Un peu de fatigue ? Allez, je me charge de vous changer les idées !
Imaginez un espace si vaste que même vos yeux peinent à le cerner. Le regard perdu dans l'infini, agrémentez-le avec ce que vous aimez : une mer illimitée, une forêt aux arbres centenaires, un désert à perte de vue. Imaginez le plaisir corporel d'une brise fraîche, de la douce chaleur du soleil ou d'une ombre protectrice. Accordez-vous moins de dix minutes rien que pour vous. Préparez-vous à vous installer confortablement, cliquez ici, démarrez la musique, puis fermez les yeux.
Alors, comment s'était ? Ah, vous étiez sur une immense plage et voilà qu'en fait je vous trompe en vous entraînant sur un chemin plus celtique que désertique. Qu'importe la couleur de vos rêves, peu importent les sonorités qui l'accompagnent. Tout peut aller avec tout, pour peu que l'homme soit sage et tolérant. Moi, cela peut même me faire passer d'un monde à l'autre, alors vous voyez ! Et puis comment croyez-vous susciter l'imagination ? Pour se développer pleinement, elle doit se nourrir d'émotions et de vie intérieure. À tout créateur, il faut une muse et la musique fut souvent la mienne.
Une autre source de divertissement maintenant. Après vous avoir ramené de votre voyage intérieur en terres sauvages, voyons si je peux tromper vos sens… Vous croyez que je m'illusionne ? Moi, je sais que non, mais vous, je le crois bien… Vérifions les illusions d'optique 1, un rien hypnotiques, n'est-ce pas ? Une petite dernière avec les illusions d'optique 2. Une nouvelle fois, mon cerveau me joue des tours, comme avec les stéréogrammes, avec sa tendance à corriger les effets de ce qu'il devrait observer.
Hier, le temps a fini par s'améliorer et je suis partie courir sur les bords de Seine (dur, dur…). La lumière y était magnifique et le paysage captivant : un ciel plein de caractère, alternant le bleu et des gris camaïeux, de grands arbres longilignes s'imprimant en contre-jour sur un fond clair et une eau mouvante, étincelant sous les lueurs du soleil comme un miroir. Conclusion : même quand je cours, je devrais emporter mon appareil photo !
Ce sera tout pour aujourd'hui ! Alors, bonne nuit ! Ah… non, la journée n'est pas terminée. Donc, encore un peu de courage !

29 AvrilIl pleut, il mouille, c'est la fête à la grenouille ! Non, non, je ne suis pas repartie une nouvelle fois vers un passé lointain, voire enfantin, je regarde juste la pluie qui dégringole et j'entends son bruit caractéristique sur le toit de la véranda. Impossible de douter un instant de sa présence…
Quelle journée hier ! Début de la course à la performance vers 8 h, fin des hostilités vers 18 h 30, pause rapide pour déjeuner. J'ai avancé un maximum dans tout ce que j'avais à réaliser ! Il m'en reste, malheureusement, autant pour aujourd'hui, mais, comme on dit, « ce qui est fait n'est plus à faire », donc je repars d'un cœur joyeux (…) pour cette nouvelle journée de labeur !
Je vous parle de musiques, de films, de peintres, il n'empêche que je suis également passionnée par les sciences. Hé ! Je ne suis pas devenue professeur de sciences physiques par hasard ! Comprendre les mystères du monde, tout un programme et, pour commencer, en voici une petite clé. Alors, pour les petits curieux des sciences, voici une vidéo très intéressante qui explique très bien la méthode des anaglyphes et donc celle du cinéma en relief. Savez-vous qu'une technique fut mise au point par un français, Pierre Allio, dès 1987 ? Elle a l'intérêt indéniable de ne pas nécessiter le port de lunettes, mais l'inconvénient, pour l'instant, de ne permettre la projection que pour un nombre limité de personnes. Suit, pour les très très curieux, un article qui explique rapidement les fonctionnement et avenir de cette dernière méthode.
Je voulais partager avec vous ma bête noire, mon grrr ultime : les stéréogrammes. Cela fait des années que je cherche à voir l'image derrière l'image et tout autant de temps que je n'y parviens pas, c'est à désespérer ! C'est toujours la même observation, au moment où je crois qu'enfin il va se produire l'impensable, mon cerveau refuse cet état, rectifie l'image qui se troublait et me voici revenue à la case départ. Si vous saviez ce que je peux ressentir quand j'entends les gens autour de moi s'écrier « Oh, un avion ! » et que moi, je ne perçois que l'image initiale… Je vous l'ai dit, c'est mon grrr ultime ! Enfin, je ne suis pas mauvaise joueuse et je vous invite à découvrir le secret de quelques stéréogrammes. Si vous avez une technique imparable, pensez à moi !
Demain, la reprise… Ce sera sympa de retrouver mes élèves, mais il va falloir que je me remette dans le bain ! Je ne sais même plus ce que je fais comme T.P. avec mes secondes l'après-midi. Comme j'ai tout préparé avant les vacances, je le saurai dès que je serai arrivée au labo !
Alors ? Qu'avez-vous prévu pour cette magnifique journée presque… ensoleillée ?

28 AvrilEt revoilà une journée pluvieuse, ça nous change ! Commençons par deux bonnes nouvelles ! Non, non, pas pour vous, pour moi, faut quand même pas rêver ! Deux retours positifs sur mon livre (et même sur mon blog, je n'en suis pas peu fière), l'un de Walkyrie sur Dol Celeb et l'autre de la part d'une des gagnantes d'une liseuse chez UPblisher, elle attend la suite avec tant d'impatience qu'elle souhaiterait être prévenue de sa parution par mail… Tous les deux écrivent qu'ils sont tristes d'avoir terminé le premier tome. C'est certain, on aimerait que cela se poursuive encore et encore !
Encore deux autres bonnes nouvelles (toujours pour moi !) : deux articles sur mon roman et un portrait de moi en préparation, l'un qui va passer dans le journal de Sartrouville et l'autre dans le Courrier des Yvelines. J'ai donc vécu ma première interview par téléphone (et je n'ai absolument pas trouvé cette situation confortable malgré la grande gentillesse de mon interlocuteur) et, mercredi prochain, ce sera la seconde, mais à la maison, ce qui explique ma grande frénésie de nettoyage depuis deux jours ! Enfin, presque, il fallait quand même bien que je m'y mette depuis le début des vacances, c'est juste que, là, je n'ai plus le choix de repousser l'échéance ! Je vous tiens au courant.
Voici une journée qui a évolué sous le signe de la nostalgie… Je suis retombée par hasard sur un petit dessin animé que je regardais pendant mon enfance : La linea. Un graphisme réduit à sa plus simple expression et, pourtant, qui se passe de tout commentaire. C'était rigolo de se replonger dans cet univers et de voir resurgir de vieux souvenirs encore si présents. C'est fou cette aptitude du cerveau à conserver des données, même inutiles, et à les faire émerger alors même que vous n'aviez pas conscience de leur existence…
Après ce premier retour dans le monde du passé, ce sont soudain des envies de réécouter d'anciens titres musicaux qui ont pris naissance. Différents airs se sont invités dans ma mémoire. Parmi elles, une mélodie douce et rythmée par la voix originale de la chanteuse Ricky Lee Jones : A Lucky Guy et une autre, Purple Rain, par la voix chaude et vibrante de Prince, extraite du film du même nom. En général, l'évocation de Prince accompagne souvent celle de Mickael Jackson ; j'avoue avoir une préférence pour ce dernier. Je suis plus touchée par le timbre de sa voix et par sa façon de vivre sa musique avec son corps. C'était un homme habité, habité par sa musique, habité par un immense talent, habité par une sensibilité à fleur de peau qui a fini par avoir raison de lui. Dommage que la douleur de vivre qui le rongeait l'ait finalement détruit… Voici deux de mes chansons préférées,de celles qui envahissent mon esprit et mon corps dans une communion totale avec la musique : Dirty Diana et Man In The Mirror.
Si vous saviez… Mon amour de la musique ne s'arrête pas là, moi qui ne joue pratiquement d'aucun instrument, si on excepte quelques grattages imparfaits des cordes d'une guitare et des airs de flûte tout aussi improbables. Je vous raconterai un jour !
Ah ! J'ai oublié une bonne nouvelle et celle-là vous concerne peut-être… sûrement ! L'institut GFK prévoit un doublement des ventes de tablettes en France en 2012. Alors, c'est quand votre prochain anniversaire ?
C'est fini pour aujourd'hui ! Bon samedi et attention à bien vous couvrir ! Il ne manquerait plus que vous attrapiez un mauvais virus. Quoiqu'il suffit d'un bon livre, d'une boisson chaude et d'une couverture douillette pour se sentir mieux ! Mais quel livre pourrais-je bien vous conseiller ? Petit tour chez UPblisher pour le découvrir ?

27 AvrilCela ne vous a jamais tenté d'écrire ? Vous savez, quand j'ai tapé les premiers mots de la saga d'Aila sur mon ordinateur, c'était comme cela, pour le plaisir. Je ne savais absolument pas où cela me mènerait et encore moins que raconter serait une telle source de jubilation. C'est vrai, par contre, qu'une fois que vous avez mis le doigt dans l'engrenage, il devient difficile de vivre sans…
Alors, faites-vous plaisir, écrivez. Ne le faites pas avec l'objectif absolu d'être édité sauf si vous avez la certitude d'être celui que tout le monde attend - et, peut-être, aurez-vous raison -, mais pour la réalisation de soi.
Pour ceux dont l'objectif est une orthographe irréprochable, voici un article très intéressant qui compare plusieurs correcteurs et statue sur leurs qualités et leurs limites. Maîtriser le français par le respect de ses règles (orthographe, conjugaison, concordance des temps, accord, ponctuation, etc.) est réellement indispensable, même, et je suis la première à le dire, si la langue française est une langue pleine de subtilités dont certaines m'échappent et m'obligent à un long temps de relecture parfois insuffisant pour obtenir un sans-faute.
En plus, glup, je ne sais pas si c'est l'âge, mais, quelquefois, c'est l'absence totale, comme si le mot que je recherchais n'avait jamais existé dans ma tête ou que les lettres qui le composaient avaient pris un chemin fantaisiste. Je suis consciente de la difficulté qui consiste à travailler à la fois sur le fond et sur la forme, l'un éclipsant l'autre selon ce qui se présente. En fait, il faudrait d'abord travailler sur l'écriture pour la rendre quasi parfaite et, ainsi, en faire totalement abstraction pour se préoccuper uniquement du respect des règles. Je n'y parviens jamais tout à fait…
En conclusion : je râle quand mon mari me dit, l'air de rien, que j'ai encore laissé passer une ou deux fautes dont certaines totalement hallucinantes ! Mais comment ne suis-je pas parvenue à les voir ? Grrr…
Mais j'ai une excuse ! Le cerveau est un immense farceur et je peux vous le prouver ! Voici un petit texte en anglais que je vous invite à lire : « FINISHED FILES ARE THE RESULT OF YEARS OF SCIENTIFIC STUDY COMBINED WITH THE EXPERIENCE OF YEARS. ». Maintenant, reprenez cette phrase et comptez le nombre de F. Alors, combien en trouvez-vous ? Retenez bien ce nombre et, même, notez-le pour éviter d'autres farces cérébrales comme celle de ne plus s'en souvenir ou d'en modifier la valeur ! La réponse à la fin du blog d'aujourd'hui !
Quelques belles images pour bien démarrer la journée et vous montrer combien notre monde est beau. Dommage que les hommes ne soient pas toujours à la hauteur de cette Terre qui leur est offerte…
Comme je le prévoyais, hier a été une journée extrêmement chargée ! J'ai même réussi à courir, mais, après la demi-heure de musculation pour mon genou chez le kiné, j'étais éreintée… J'ai cru que je n'arriverais jamais au bout de mes 4 km ! Ce sera relâche pour aujourd'hui et demain sera un autre jour !
Alors, combien de F ? 3 ? 4 ? 5 ? 6 ? Eh, bien, il y en a 6… Si, si, recomptez. Pour vous rassurer, la majeure partie du monde ne voit pas les F des OF et, donc, elle en voit 3, le cerveau humain ayant tendance à les voir plutôt comme des V que des F. Je vous avais bien dit que le cerveau était un grand farceur ! Et j'ai, en réserve, d'autres preuves stupéfiantes !
Bonne journée !

26 AvrilEt une journée venteuse terminée ! Et une ! Cela me fait penser aux noms des mois dans le calendrier républicain dont les sonorités changent un peu des nôtres avec une touche de poésie. Quelques exemples : Germinal, Thermidor, Brumaire, Ventôse. Pour moi, il manque une note sucrée avec « Fructôse » (!), même si leur mois des fruits porte le doux nom de Fructidor, ce qui, je l'avoue, aurait plutôt tendance à me faire penser à une marque d'huile ! Si vous voulez découvrir les noms des autres mois républicains, cliquez ici, c'est très utile pour les amateurs de généalogies anciennes ou pour les curieux !
Je vous invite à découvrir un photographe de mariage, Jason Lee qui a décidé de sortir des clichés familiaux classiques pour offrir une perspective très différente dans les photos de ses enfants. J'ai beaucoup apprécié son originalité, la vie qui émane de chaque portrait ainsi que sa mise en scène. Un modèle à suivre !
Je vous propose une rencontre avec un peintre dont j'aime l'aptitude à jouer avec les couleurs et les formes : William Turner (1775 - 1851). Je trouve fascinante la luminosité de ses tableaux et cette façon de donner un éclairage qui nous promène entre ombre et lumière. Partons pour un pas de deux dans cet univers vivifiant avec ce site qui vous propose ses œuvres. Comme tant d'autres peintres en avance sur leur temps ou précurseurs d'une technique en pleine évolution, la qualité de sa peinture à l'huile fit parler d'elle et déboucha sur un jugement sans nuance dans lequel on se riait des « délires de Turner » ! Et voici, en musique, quelques mots sur sa biographie.
Bon, je l'avoue, hier, j'ai été très occupée et, entre la pluie, le vent et le rangement, j'ai remis mon défi personnel à aujourd'hui. Sauf que la journée s'annonce déjà très chargée ! Je vous tiens au courant ! À demain !

25 Avril Journée pluvieuse, journée heureuse ! Et toc ! Ou comment faire un pied de nez à la météo !
Hier, tandis que je regardais la grisaille menaçante du ciel et les gouttes de pluie s'écrasant sur la terrasse, je me demandais de quelle façon je pourrais relever mon défi personnel : aller courir ! Comme je l'ai dit hier : seule la volonté compte ! Dans le même temps, le corps a des limites qu'il faut savoir écouter… ou pas. Alors que le soleil finissait par montrer le bout de son nez vers 18 h, le courage m'a repris et hop, petits pas de sprinteur à deux sous un beau soleil et un vent de face ! Ouf… Ce fut plus difficile que le jour précédent. En route pour aujourd'hui et mon nouveau défi !
Sur le thème de mes peintres préférés, je vous entraîne aujourd'hui sur la route de Claude Monet (1840 - 1926). Savez-vous que, pas très loin d'ici, à Giverny, se trouve la fondation Claude Monet et ses merveilleux jardins. Je ne me lasse pas de contempler ces espaces où fourmille la richesse de la végétation sous toutes ses formes : arbres, eau, fleurs de toute nature et de toute couleur. Le jardin d'eau, par exemple, offre aux yeux une magnifique luminosité pleine de sérénité. Me voici devenue une contemplative et, assise, le regard perdu et le cœur rempli, je n'écoute plus que le silence, le souffle coupé par le bonheur d'exister. Je veux y aller tout de suite ! Croyez-vous que, même sous la pluie, cela me ferait le même effet ?
C'est à ce moment-là que je regrette de n'être qu'une dessinatrice médiocre. J'aimerais tant en quelques lignes et quelques couleurs retracer l'ambiance de l'endroit. C'est sûrement pour cela que j'aime la photographie, ce que ma main ne peut réaliser, le support numérique l'enregistre pour moi et je peux toujours espérer qu'un jour, dans un moment d'oisiveté créatif, je prendrais le temps de croquer l'un ou l'autre de mes clichés, d'abord les contours au crayon à papier, puis les couleurs aux pastels secs. Maintenant, je ne peux rien certifier sur le résultat final. Quelquefois, je suis contente. D'autres fois, un seul coup d'œil suffit à provoquer la disparition rapide de l'œuvre décevante…
Découvrez quelques-uns de ses tableaux. Voici un autre site proposant une centaine de reproductions et l'importance de Claude Monet dans le mouvement impressionniste dont il est l'instigateur presque involontaire. Je reste toujours sidérée par cette forme d'immobilisme chez l'être humain qui se fige dans un mode de pensées et un système de valeurs totalement verrouillés. Finalement, les véritables penseurs, créateurs sont des gens à part qui ont su casser les codes établis en laissant libre cours à leur créativité, insensibles à la critique ou à la moquerie. Au choix, ont-ils été des êtres particulièrement détachés, illuminés ou très forts ? À moins qu'ils n'aient été tout cela à la fois, voire plus encore…
Alors, qu'avez-vous fait de cette journée majoritairement pluvieuse ? Avez-vous pensé à quelques lectures, chez UPblisher par exemple.

24 Avril Je l'ai fait !!! Si, si, si, je suis allée courir et j'ai même entraîné mon petit mari avec moi ! Tandis que nous revêtions les tenues appropriées, le soleil commençait déjà à se cacher et, quand nous avons mis un pied dehors, il faisait déjà gris. Mais bon, gris n'est pas toujours égal à pluie. Pas tout de suite, non, mais au bout d'un kilomètre et demi, si ! Didier a renoncé et est reparti vers la maison en espérant éviter de se faire détremper complètement. Courageusement, car surtout mieux équipée, j'ai poursuivi ma course, évitant au mieux les flaques pour mes chaussures peu imperméables. Au final, sur le retour, la pluie a redoublé. Heureusement que j'ai rencontré quelques encouragements ! Sur la fin, courir devenait difficile avec mes chaussures transformées en barques remplies d'eau : sploch… sploch… sploch…
Je suis contente. Eh oui, c'est vraiment le premier pas qui coûte le plus. Démarrer dans ma tête a été vraiment une question de volonté. Ensuite, j'ai repris ma vitesse de croisière, sûrement un peu plus poussive qu'avant, mais après une telle durée d'interruption en raison de mon problème de genou, je ne peux pas revenir au top en un claquement de doigts ! Ici, c'est comme dans l'UP'lecture d'UPblisher, on se confronte à des défis chaque jour. Alors, je recommence demain ?
J'ai oublié de vous dire. Maintenant que je suis bien rentrée mouillée et que je me suis séchée et changée, devinez… le soleil est revenu ! Oui oui, je sais, il faut bien arroser les belles plantes ! C'est ce que je me dis pour me consoler !
Allez, ce n'est parce que ce sont les vacances pour certains qu'il ne faut pas se cultiver un peu. Je vous propose un petit quiz sympa de 28 questions proposées par l'Étudiant (ne faites pas attention si le nombre de questions se termine à 30, leur numérotation est un peu fantaisiste…) Personnellement, j'ai quelques rectifications à faire côté grammaire et orthographe, mais un sans-faute pour le vocabulaire.
Pour poursuivre dans la culture, voici pour moi un des plus grands génies qui ait vécu : Léonard de Vinci (1452-1519). Ce ne sont pas ses tableaux qui m'impressionnent le plus, même si la fameuse Joconde a une réputation qui n'est plus à faire, ce sont ses dessins et ses croquis scientifiques. Vous pouvez découvrir sa biographie, quelques-unes de ses œuvres. J'ai appris beaucoup plus tard que sa vie personnelle et sa sexualité avaient été contestées. Parfois, l'histoire laisse plus de questions dans son sillage qu'elle n'apporte de réponses. En l'absence de certitude, je choisis le bénéfice du doute. Découvrez cette première vidéo sur les trois accessibles sur « DailyMotion ». De son vivant, Léonard de Vinci n'a jamais vu aucune de ses inventions réalisées ou presque. Ce documentaire propose pour la première fois leur mise à l'épreuve. Il explique également pourquoi la plupart de ses innovations ont mis si longtemps à revoir le jour.
Profitez bien de votre journée !

23 Avril « En avril, ne te découvre pas d'un fil… » Malgré la présence de soleil, la fraîcheur est de rigueur… Brrr, c'est à ne pas sortir un coureur dehors ! Si, si, comme cela, j'ai des excuses pour ne pas encore avoir enfilé mes chaussures de sprinteuse ! Ah, non, vous n'êtes pas d'accord… Bon, bon, c'est promis, je vais faire un effort s'il ne pleut pas en milieu ou en fin d'après-midi.
Allez, aujourd'hui, c'est décidé, je sors avec ma dernière fille ! Nous allons aller dans quelques boutiques ce matin. J'ai bien dit « quelques » car, au bout de trois, j'en ai déjà assez !
Et puis, il n'y a pas à tortiller, il faut que je me mette vraiment au boulot ! Pfff… Là, je suis certaine que vous sentez le courage incroyable qui m'envahit ! J'y suis presque, encore deux semaines de cure de sommeil et ce sera bon !
N'oubliez pas le bouton « Contact » tout en bas de la page pour me contacter. Petit copier-coller de l'adresse suivante dans votre messagerie : cboullery(tiret)aila(arobase)yahoo(point)fr, en remplaçant les mots entre parenthèses par leur symbole correspondant, et nous serons en contact !
Bonne journée !

22 Avril Encore du soleil ! Meilleur temps ici que dans le Lot, incroyable ! À moins que, depuis notre départ, les éclaircies aient été plus fréquentes que les averses là-bas…
Il faut absolument que je retrouve le courage d'aller courir. Je sais que cela ne peut que me faire du bien, c'est juste le premier pas qui compte, d'autant plus que mon niveau d'énergie intérieure est plutôt bas… Allez, un peu de courage, que diable ! Qui veut venir courir avec moi sur les bords de Seine ? 4 km pour retrouver la forme, travailler son endurance et bien dormir la nuit ! Alors, des volontaires ?
Voulez-vous devenir ami(e) de la page Facebook d'Aila ? Pour ce faire, rendez-vous sur la page d'Aila et la Magie des Fées d'UPblisher. Allez dans le cartouche « Recommandez » vers le haut à droite, cliquez sur le logo Facebook, puis ajoutez un petit message et partagez sur votre mur. Vous pourrez ensuite découvrir des photos et de petits textes sur le livre dans la page de notre héroïne. N'hésitez pas à me rejoindre et à tout aimer !
Ce n'est pas le tout, c'est vrai que je donne l'impression d'être une marmotte mal réveillée à l'orée de ce printemps pas très bien réveillé lui non plus, il faut bien l'admettre, mais je fais plein de choses quand même ! Je suis en train de bâtir deux nouvelles pages pour le site et le projet d'une 3e que je dois réaliser également. Je réalise mon blog chaque jour en ce moment (j'ai un peu plus de temps pendant les vacances, alors j'en profite). À votre avis, combien de temps me prend quotidiennement ce petit exercice de style ? Je retourne sur le forum de Dol Celeb depuis que j'ai retrouvé ma connexion internet (et parce que j'ai un peu plus de temps pour réfléchir, construire et répondre). Nous allons partir de la présentation réalisée pour nos amis chocolatiers pour réaliser une vidéo pour YouTube. Comme la spécialiste des présentations, c'est moi, il faut que je m'y colle sérieusement pour la retravailler. Après, je refilerai le bébé au spécialiste des vidéos, l'homme de la maison, j'ai cité : Didier ! Quelques applaudissements, s'il vous plaît. Merci beaucoup ! Bon, et ce n'est que pour maintenant ! Les autres idées viendront après !
Et vous dans tout cela ? Ma majorité silencieuse, j'aimerais bien connaître vos désirs, vos envies pour pouvoir y réfléchir et mettre en place si possible des réponses à vos demandes. Vous savez, tout en bas de la page, il y a un bouton « Contact » que je viens d'essayer et qui ouvre "Outlook" chez moi. Si c'est le cas dans votre ordinateur, je vous invite à un petit copier-coller de l'adresse suivante dans votre messagerie : cboullery(tiret)aila(arobase)yahoo(point)fr, en remplaçant les mots entre parenthèses par leur symbole correspondant, et le tour sera joué ! Parce que, j'ignore vos rapports avec Outlook, mais les miens sont difficiles ; une fois dans ce logiciel, je n'arrive plus en m'en sortir !
Bon dimanche !

21 Avril Soleil ! Je crois cependant qu'il faut bien en profiter ce matin, car cela va se gâter dans l'après-midi !
Êtes-vous allés vérifier si vous faisiez partie des heureux gagnants chez UPblisher ? Didier a eu le plaisir de découvrir, parmi ceux qui vont recevoir une liseuse, une de ses relations professionnelles. C'est sympa. Dommage pour moi, je ne connais personne parmi les heureux élus.
Difficile retour à la maison ou comment se sentir submergée par tout ce qui reste à faire après l'impression d'être totalement désertée par la moindre once de courage ! Soupir…
De l'utilité du numérique… Mon père était un homme très cultivé, un amateur d'histoire avec un goût prononcé pour la période du Moyen-Âge, un amateur de l'écriture sans faute collectionnant les manuels d'orthographe, de grammaire ou de conjugaison, un amateur de belles-lettres avec tant de classiques qu'il me faudrait des années pour rattraper tout le retard accumulé dans l'exigence de la culture. Parmi ses joyaux, il possédait la fameuse encyclopédie Universalis. Dans ma jeunesse, j'avais adoré cette encyclopédie que je parcourais à la recherche de connaissances pour le travail de l'école et, pourtant, j'y ai renoncé, tant de volumes, bien trop, et plus assez de place pour faire rentrer dans ma maison tous les souvenirs de son existence et de celle de maman… Pourquoi je vous raconte tout cela ? Parce que si mon père l'avait achetée en numérique et non sur papier, je l'aurais conservée, évitant ainsi les regrets de m'en être séparé… C'est la récente décision de l'encyclopédie Britannica pour renaître de ses cendres, comme l'avait fait l'encyclopédie Universalis avant elle avec le choix d'un support numérique, sauf que son lancement est limité, pour l'instant, aux utilisateurs d'Apple. Ses intérêts : -32 volumes, -58 kg et 1,99 € par mois pour y accéder.
À demain !

20 Avril Toutes mes excuses pour le problème d'accès au site pendant deux jours ! Notre faible capacité à se connecter ne nous a pas permis de réaliser les vérifications d'usage.
Assez de pluie ! Nous avons décidé de revenir vers la région parisienne après ces vacances bien arrosées (non, non, au sens propre et c'est tout !). Enfin, presque… Après la pluie campagnarde, nous voici au cœur de la pluie parisienne ! Tout le bonheur de ne pas perdre les bonnes habitudes… L'espace d'un instant, je voudrais être une grenouille ou un escargot pour apprécier ces instants mouillés !
Je suis malgré tout heureuse de ces quelques moments de repos, des rares promenades entre deux averses et des photos que j'ai prises, révélant des ambiances aux couleurs tranchées et des contrastes saisissants. Hier soir, c'était encore plus vrai avec un extraordinaire mélange : un ciel gris menaçant en arrière-plan, un premier plan resplendissant sous une lumière vive et le plaisir de voir apparaître deux arcs-en-ciel en demi-cercle. Tous les petits bonheurs du photographe amateur que je suis, réunis en un seul espace : un éclairage exceptionnel, des teintes chatoyantes et un paysage plein de richesses !
J'ai éprouvé les mêmes sentiments sur le chemin du retour quand nous avons croisé des ambiances lumineuses (de belles éclaircies, très surprenantes, il est vrai) et des nuances vertes et jaunes (plutôt automnales que printanières), des terres cultivées (champs de colza) ou simplement retournées (une pensée pour Lysaille) et de magnifiques nuages pleins de personnalité : « Tu as vu celui-là, on dirait un oiseau ». C'est tout l'art de l'imagination : déceler la face cachée des cumulonimbus !
Les résultats du jeu sont tombés ! Allez vérifier si vous faites partie des heureux gagnants chez UPblisher.

19 Avril Pluie… Soleil ! Pluie… Soleil ! Pluie… Voilà à quoi a ressemblé la journée d'hier : une alternance de giboulées de mars et d'éclaircies temporaires. Pas facile de se promener dans ces conditions, alors, on s'occupe comme on peut : courses, connexion publique pas très efficace, cuisine (lapin à la bière et au pain d'épice), promenade éclair entre deux ondées vers le château de Montal, brève étape avant des nouvelles gouttes venues du ciel, puis montée vers Saint-Jean-Lespinasse, son bourg ancien au cœur duquel trône une magnifique et massive église romane avec la chance d'une trouée dans les nuages le temps de la visite, avant le retour de nuages menaçants et, naturellement, d'un peu plus de pluie…
Ce matin, ce n'est guère mieux : grisaille et atmosphère bien humique, même si, pour l'instant, il ne pleut pas. Revenir maison !
Pour couronner le tout, mon génial traitement de texte continue à dérailler. Plus de copier-coller qui conserve la mise en forme du document initial (et pourtant, tout est coché comme il le faut), je suis obligée de remettre les indices, les exposants, les gras, les italiques, les couleurs et, surtout, je ne dois pas m'énerver ! Et, depuis ce matin, les correspondances touches-caractères ne sont plus les bonnes. Je tape Lomaï et j'obtiens « Lo ;qi ». Soupir… Vérification linguistique : tout paraît en ordre. Mais alors pourquoi ça ne marche pas ? Est-ce que j'ai le droit de hurler ? Non, à part moi, tout le monde dort dans la maison et je me contenterai de marmonner presque en silence que je hais ce traitement de texte débile ! Na ! Bon, comme je ne suis pas du genre à renoncer, je vais procéder à une nouvelle tentative avec un nième redémarrage et l'espoir d'une disparition des symptômes…
C'est fait et, miracle, le clavier fonctionne de nouveau correctement ! En plus, vous n'allez pas y croire, même les copier-coller semblent avoir retrouvé leur performance initiale ! Je ne sais pas combien de fois j'ai redémarré mon ordi dans l'espoir que tout se remette en place et, là, ça marche ! Allez savoir pourquoi… Les mystères de l'informatique restent entiers pour moi ! Reste un dernier point à vérifier, car, depuis vendredi dernier, mon ordinateur ne veut plus reconnaître la carte mémoire de mon appareil photo et donc je ne peux plus télécharger mes photos directement. Je suis obligée de passer par l'ordi de ma grande qui charge les images directement sur ma clé USB et, ensuite, je les transfère sur mon PC. C'est un peu long et fastidieux, mais c'est mieux que rien… Alors, je tente le coup ?
Bon, je ne pouvais quand même pas gagner sur tous les plans… Ma carte mémoire ne s'ouvre toujours pas sur mon ordi. Il faudra quand même bien que je finisse par trouver une solution à ce problème. Tiens, au fait, il pleut… Bonne journée !

18 Avril Vous le croirez ou non, mais, hier, le réveil s'est fait sous un magnifique ciel bleu qui m'a donné des ailes ! J'ai entraîné mon mari et ma dernière dans la visite d'un très beau village, Carennac, sous un ciel qui se voilait déjà. C'est un magnifique bourg monastique construit en bordure de la Dordogne autour d'un prieuré fondé par l'abbaye de Cluny au XIe siècle. L'église présente une nef principale romane entourée de petites chapelles gothiques ajoutées lors de son agrandissement un siècle plus tard. Promenade dans le village avant de longer la Dordogne, profitant de l'ambiance douce et lumineuse créée par l'alliance de l'eau et de la végétation. Pour agrémenter le tout, plusieurs barques à moitié coulées, quelques familles de canards qui nous suivaient, espérant une distribution de pain, puis une chouette réflexion de ma fille ; son père venait de lui dire qu'il faudrait m'attendre parce que je prenais des photos (entre nous, je rigole, je peux vous affirmer que ce n'est pas moi sur les deux qui prends le plus de temps !) et elle répondit du tac au tac que nous n'aurions pas besoin de l'attendre, elle ne prenait pas n'importe quoi (en photo, naturellement !) ! Bon, ce n'est pas grave, j'assume parfaitement de photographier tout ce qui bouge ou pas et qui me plaît !
L'après-midi, petit tour à Loubressac. La route qui mène vers l'éperon rocheux sur lequel trône le village offre une belle perspective sur les constructions anciennes. Malheureusement, la grisaille s'intensifiait, privant le lieu de ses couleurs habituellement chaudes. Le site est vraiment superbe et offre un panorama exceptionnel sur la Vallée de la Dordogne : Châteaux de Castelnau et de Montal, tours de Saint-Laurent où habita Jean Lurçat, un tapissier connu pour son style très particulier et ses bleus flamboyants.
Retour sous un gris de plus en plus intense avec un détour par le château de Castelnau, construit sur un promontoire dominant la vallée. Très impressionnant par sa taille et original par la couleur de sa pierre, nous en avons juste fait le tour avant de repartir, évitant ainsi les premières ondées…
Conclusion de la journée : un véritable régal pour les yeux et le cœur et juste un regret pour ce ciel gris à la fois trop lumineux pour les photos et pas assez pour réchauffer les couleurs de la nature ou des pierres.
Aujourd'hui, aucune illusion, la pluie est de retour ! Alors, journée studieuse ou paresseuse ? Et vous, un petit tour chez UPblisher pour découvrir toutes ses propositions livresques dont au moins une vous séduira.

17 Avril Un petit roman à découvrir pour les chanceux qui sont en vacances ? Allez faire un petit tour chez UPblisher.
Finalement, la journée d'hier a présenté quelques moments plus lumineux dont j'ai profité. J'ai pris les petits chemins que je connais bien et qui offre une perspective intéressante sur le village tout en pierres. Tandis que le soleil jouait à cache-cache avec les nuages, je doublais voire triplais une photo espérant la plus belle lumière sur au moins l'une d'entre elles. Une belle promenade au cœur de lueurs fluctantes et, toujours, un nouveau regard sur des lieux connus et reconnus…
Depuis toujours, je suis fascinée par la couleur des arbres en cette saison : le fameux « vert printemps », d'une clarté incomparable, presque fluorescente… Cependant, constatation surprenante, le printemps paraît plus en retard ici qu'en région parisienne.
Aujourd'hui, soleil ! Qu'est-ce que cela fait du bien ! Je n'en espérais pas tant, alors, ce sera… promenade et photos ! Je vous raconterais tout demain, c'est promis… Enfin, si nous arrivons à transférer le fichier avec une connexion publique peu efficace !

16 Avril Le jeu est terminé chez UPblisher depuis hier et le roman est en vente ! Vous n'avez pas été tenté par le jeu, essayez le livre !
Repos ! Petit moment de détente bien mérité, loin de toute connexion ou presque… Nous sommes arrivés hier dans un magnifique et pittoresque village sous un temps mitigé qui a fini par se dégrader totalement : pluie et vent ! Et, en plus, il fait froid ! Génial… Moi qui rêvais de marche sous le soleil et de remise progressive à la course, en alternant repos et fatigue physique… Rien que le temps n'incite guère au réveil de mes énergies intérieures, pas de chance. Bon, qu'est-ce que je fais ? Je retourne me coucher tout de suite ou j'attends ce soir ?
Ce matin, nous allons nous rendre sur la place de la ville la plus proche pour capter une connexion publique, poster le blog avant de revenir à la maison… Et après ? Vu l'heure avancée de notre réveil, il sera temps de préparer le repas ! Ensuite, la journée sera déjà bien entamée… Alors, quelques copies pour poursuivre cette merveilleuse journée ?
Je tenterais bien malgré tout une petite sortie avec mon appareil photo pour m'aérer un peu et essayer de capturer quelques ambiances. J'aime tellement les couleurs que même un ciel monotone ne m'arrêtera pas. De plus, je me suis aperçue depuis longtemps que ce type de lumière, sans ombre et donc sans contraste violent, permet de mettre en valeur certains paysages ou détails. Sauf que je crois que ce ne sera pas le cas aujourd'hui, la luminosité est vraiment trop faible… Dire qu'avec un peu de malchance, il se pourrait que ce soit notre plus belle journée ! Cela promet pour la suite ! Je vous tiens au courant !

15 AvrilJour J… Aujourd'hui se termine le jeu ! Dernière tentative chez UPblisher pour terminer les défis et participer au tirage ! N'oubliez pas : des liseuses en jeu et des ebooks !
Vendredi dernier, j'ai rejoint mon amie Dominique dans sa chocolaterie « Corné » à deux pas de la gare de Sartrouville pour mettre en place dans sa boutique une vitrine sur les fées et les papillons. Nous avons passé un super moment et j'ai observé avec intérêt l'expérience de celle qui construit un univers gourmand et tentant pour des yeux extérieurs : un savant mélange de jolies statuettes de fées, de papillons colorés volant dans les airs (en fait, surtout soutenus par leurs antennes fixées sur une corde !) et de quelques macarons colorés pour la stimulation des papilles. J'avoue, j'ai goûté, ils sont excellents, comme les chocolats d'ailleurs… Enfin, trêve de gourmandise, revenons à la vitrine. Le constat est simple : il n'est pas facile de présenter un livre numérique dans une vitrine sans liseuse, donc Claude et Dominique ont eu l'idée de placer la couverture sur… un vrai livre ! Le livre numérique offre un grand nombre d'intérêts, mais, question présentation, il est moins facile à mettre en évidence !
Le petit cadre numérique de maman - une façon de la faire participer - tourne en boucle sur le devant de la vitrine tandis que le grand écran à l'intérieur du magasin offre la même présentation aux yeux des personnes qui attendent. Chaque client repartira avec une petite carte que j'ai constituée avec l'adresse des deux sites. Quand je vois le nombre de mamies qui viennent s'offrir des douceurs, je me dis qu'elles ne sont probablement pas les clientes rêvées du numérique, mais peut-être ont-elles des enfants et des petits-enfants…
Hier, je suis retournée faire des photos de la boutique avec ma voisine, Élisabeth, qui me sert d'« attachée de presse » bénévole, toute dévouée et très sympathique ! Elle projette des articles dans différents journaux locaux, dont ceux des Yvelines et de Sartrouville. Elle parle d'interviews, de radio et de télé locales et, je ne sais pas pourquoi, tel un escargot, je rentre dans ma coquille. Je ne suis pas certaine d'être déjà prête pour ce genre d'exercice !
La vente de mon roman débute demain pour tous. Qui vivra verra…

14 AvrilJour J - 1 de la fin du jeu ! C'est le week-end ! Pas encore parti ? Profitez-en pour faire un petit tour chez UPblisher, une occasion de découvrir une nouvelle façon de lire avec l'UP'lecture et de nouveaux auteurs talentueux et inédits.
Hier, j'ai accompagné mes élèves de seconde au cinéma voir « À bout de course » de Sidney Lumett (1988) que je ne connaissais pas. Ce film raconte l'histoire d'une famille en fuite depuis que les parents ont placé une bombe dans un laboratoire fabriquant du napalm en opposition à la guerre du Vietnam, 14 ans plus tôt. Aujourd'hui, Danny a 16 ou 17 ans. Comme son frère de 10 ans, il sait ce qu'il doit faire si la famille est repérée par le F.B.I. : tout abandonner. Et c'est ainsi que commence le film sur une nouvelle fuite. Aidée par des sympathisants, la famille, parée d'une nouvelle apparence, se crée une nouvelle identité, récupère un nouveau véhicule et part vivre ailleurs…
Leur vie est sans attache, sans famille, sans ami. Le père apprend ainsi brutalement le décès de sa mère avec un mois de retard et Danny découpe dans un journal une photo de ses grands-parents maternels, appartenant d'ailleurs à la haute bourgeoisie américaine. Bizarrement, tout ce petit monde semble accepter cette vie bohême avec bonheur jusqu'au moment où les premières fêlures apparaissent : la lassitude de fuir que la mère surmonte jour après jour, un sourire aux lèvres, Danny qui tombe amoureux de la fille de son professeur de musique et se laisse bercer par l'idée de rentrer dans une grande université américaine, prête à l'accepter en sa qualité de virtuose. Cependant, alors que la mère avance doucement dans l'idée de donner enfin une vie normale à son fils, le père ne veut rien entendre : leur force, c'est leur union et c'est tous ensemble à jamais.
Ainsi se prépare un nouveau départ, une nouvelle fuite. Entre temps, la mère, désireuse d'offrir à Danny un nouveau foyer, rencontre son père lors d'une scène particulièrement émouvante et, pourtant, tout en retenue. Un père qui n'a pas vu sa fille depuis 14 ans, un père qui souvient des derniers mots qu'elle lui a lancés au visage avant de disparaître : « Sale cochon d'impérialiste capitaliste » (ou pas loin), une fille dont il ne sait depuis 14 ans si elle est vivante ou morte, si elle est responsable de nouvelles morts, un grand-père qui n'a pas vu grandir ses petits-enfants. Cependant, derrière tous ses mots et leurs échanges, se cache une souffrance qui s'exprime dans le regard légèrement brillant de l'homme et les larmes de la mère de Danny. Et, puis, on perçoit l'amour, cet amour que le temps, la séparation n'ont pas réussi à faire disparaître dans le cœur de l'un ou de l'autre, l'amour pour cette femme, mère à présent, qui reste contre tout et malgré tout sa fille et réciproquement. Magnifique.
C'est le décès d'un autre militant qui va tout faire basculer. Elle va donner une raison et la force au père de libérer son enfant de cette emprise familiale. Et c'est ainsi que Danny reste sur le bord de la route tandis que tout ce qui a fait sa vie jusqu'à maintenant disparaît au loin…
Ce film est une critique des engagements idéologiques des parents (d'ailleurs fort sympathiques) qui débordent de façon totalement injuste sur la vie de leurs enfants, obligeant ses derniers, pourtant innocents de tout délit, à vivre comme des criminels au détriment de leur propre vie. Jusqu'au moment où les parents (toujours aussi sympathiques) se rendent compte qu'enfermer leur progéniture dans un mode de vie qui est le leur et pas la sienne est une erreur, surtout quand on dispose de confortables solutions de repli (tous les militants n'ont pas la chance d'avoir des parents riches et reconnus…).
Ce film laisse aussi des questions dans son sillage. J'ai pensé au jeune frère qui vient de perdre ce seul et unique représentant familial qui ne soit pas parental et qui va probablement se sentir bien seul, à Danny dont la vie prend soudain une dimension toute nouvelle avec son lot d'incertitudes et d'interrogations, même si je ne doute pas de son aptitude à rebondir et s'adapter, à l'avenir de ce couple de parents, une fois le second fils rendu à la vie également, quand la mère voudra se rendre comme elle l'a dit et, probablement, pas le père… Extrait en anglais.

13 AvrilJour J - 2 de la fin du jeu et de la mise en vente de mon roman ! Bientôt le week-end, un moment de détente, une occasion de s'occuper, une envie de parrainage ? C'est l'instant ou jamais de visiter le site d'UPblisher ! D'ailleurs, à ce sujet, il n'y a pas qu'Aila et la Magie des Fées à découvrir, profitez-en pour tout visiter !
Parfois, j'aime bien les histoires sans paroles. En voici une très jolie, pleine de poésie : « Love without talking », partie 1 et partie 2, une petite réflexion sur le chemin du bonheur qui emprunte parfois des voies inattendues. La vie semble tellement différente quand, tout d'un coup, une véritable raison de vivre surgit à l'improviste, métamorphosant le marasme de notre quotidien en explosion de joie ! Allez, à choisir, vous prenez quoi, le marasme ou la joie ? Si vous avez choisi la deuxième, devenez créateur de bonheurs et multipliez les raisons d'être heureux autour de vous !
Une autre animation, très graphique, tout en nuances sur un fond musical léger : Intention of love. Les ambiances sont particulièrement belles. Cependant, la fin est un peu triste. De plus, remplacer un être vivant et aimé par une réplique articulée autour d'un coeur mécanique me paraît illusoire dans le recherche d'un bonheur perdu, même si le personnage, dévasté par la perte de son amour, préférait nettement les belles machines aux beautés naturelles.
Le marché de l'ebook n'en finit pas de surprendre. Je suis intimement convaincue que cette partie de l'édition connaîtra les plus grandes innovations dans le domaine de la lecture. Les liseuses n'en sont finalement qu'à leur début et offriront des perspectives de plus en plus riches et variées, voire malheureusement de plus en plus « gadgetisées » ou comment joindre l'inutile à l'agréable ! Encore faut-il que les « puissants » jouent le jeu, ce qui n'est pas toujours le cas comme nous en informe cet article… Je crois que ces grandes sociétés vont devoir faire un choix réfléchi : ouvrir réellement un nouveau marché ou se faire piquer des parts de marchés par de nouvelles sociétés qui vont offrir aux consommateurs ce que ces derniers souhaitent. Attention ! Les acheteurs finiront bien un jour par se rebeller contre l'excès et qui en paiera la casse ?

12 AvrilJour J - 3 de la fin du jeu et de la mise en vente de mon roman ! Oh la la, cela se rapproche, dépêchez-vous ! Direction sans tarder chez UPblisher !
Se recentrer sur l'essentiel… Qu'est-ce qu'il y a de plus important dans ma vie ? D'abord, mon mari et mes enfants, puis ma famille et mes amis. Leur bonheur, leur santé sont ce qui compte le plus pour moi. Et, puis, il y a tous ces gens, peut-être moins proches dans l'absolu, mais avec lesquels je partage de bons moments régulièrement, qu'ils soient collègues, élèves ou de simples relations. Oui, cela aussi est important. De quoi se nourrit la vie sinon de tous ces petits moments de bonheur quotidiens et combien elle serait bien triste en leur absence… Oui, c'est le bon chemin à suivre, se concentrer sur tout ce que nous considérons comme acquis et qui ne prend sa dimension que lorsque nous le perdons. Sachons l'apprécier à sa juste valeur avant de réaliser son caractère fondamental, trop tard…
Et mon livre alors ? Cette aventure est une réalisation personnelle, un petit chemin rempli d'égoïsme mesuré et de plaisir que je ne renie pas et dont je fais essayer de profiter au maximum. J'ai déjà franchi une étape importante dans mon existence puisque mon histoire a suffisamment plu à Caherine Vailla aliant et Stefan Aimar d'UPblisher pour qu'ils décident de m'éditer. C'est déjà une belle réussite en soi… Pour le reste, je m'efforcerai de ne prendre que le bon et de me détacher suffisamment pour devenir insensible au moins bon. Garder le cap, envers et contre tout, savoir positiver. Mais ne suis-je pas simplement en train de me convaincre ou de me rassurer ?
Voici deux petits articles sur J.K. Rowling qui devient également créatrice de business au détriment des éditeurs classiques avec Pottermore (version française), un site de vente exclusif des ebooks d'Harry Potter. Une revanche à prendre ou une façon de démontrer les faiblesses des éditeurs ? Elle seule pourrait donner les raisons de ses choix, mais, clairement, c'est en train de faire du bruit ! À découvrir : Pottermore, un mauvais sort jeté aux éditeurs et Pottermore s'associe à Google pour vendre les ebooks Harry Potter. Je me doute bien que cette auteure n'a pas besoin que je lui fasse de la publicité, mais j'ai adoré l'univers d'Harry Potter, une véritable innovation dans le monde la fantasy et, de plus, sa démarche me paraît intéressante, à suivre donc…

9 AvrilJour J - 6 de la fin du jeu et de la mise en vente de mon roman ! Dernière ligne droite à parcourir jusqu'à UPblisher.
Oh la la, cela fait plusieurs jours que je n'ai pas donné signe de vie… C'est que j'ai eu beaucoup de choses à faire ! Bon, d'accord, ce n'est pas une excuse, mais c'est la meilleure que j'ai trouvée, il faudra vous en contenter !
Il existe tant de questions auxquelles nous sommes susceptibles de nous confronter un jour ou un autre, des questions douloureuses ou déstabilisantes qui nous rendent plus fragiles ou plus fortes. Quelle est la bonne voie à choisir pour surmonter les écueils qui se mettent sur votre chemin ? Comment faire ?
Les lecteurs sur liseuse seraient-ils de plus gros consommateurs de livres que les lecteurs papier ? C'est en tout cas, ce que dit cet article de MaxiSciences.

5 AvrilJour J - 10 de la fin du jeu et de la mise en vente de mon roman ! Roulement de tambour ! Attention ! c'est le début de la course !
5… 4… 3… 2… 1… Partez !!!!!!!!!!! Je vous rappelle le lieu et l'endroit : UPblisher !
J'aime la lumière matinale de ces belles journées printanières. Elle est tout à la fois chaude et douce, nuançant chaque maison, chaque arbre de la touche d'un pinceau doré. Voilée de brumes éparses, que la Seine est captivante sous ces rayons fluctuants. Tandis que les arbres pointent dans le paysage leurs silhouettes, hésitant en réalité et mirage, l'eau, courant de sa source à la mer, miroite doucement entre deux nappes fantomatiques. Un vrai régal pour les yeux… Et dire que je n'avais pas mon appareil photo.
Ca y est, je suis agacée… En raison du titre, « Aila et la Magie des Fées », il a fallu préciser un âge, car les gens pensent que c'est un livre pour enfants. Je ne suis pas fâchée contre les gens, mais contre notre idée prédéfinie sur les choses, les êtres ou les mots. Au final, cela a donné lieu à des discussions animées avec mon cher et tendre qui, pour pallier cet inconvénient, avait rajouté « pour les plus de 12 ans ». Et pourquoi pas « plus de 13 ans » ou de 14 ou même de 15 ? Cela me déplaisait au plus haut point ! Je me sentais ravalée à ces films qui sont mis tout public, + de 12 ans ou + de 18 ans. Pourquoi pas non plus mettre une date de péremption pendant qu'on y est ! Attention, livre périssable, à consommer de préférence avant… Et tout cela pour quoi ? Simplement parce qu'il y a le mot « fées » dans le titre ! Voilà pourquoi notre monde est dénué de féerie, parce que les fées ne sont, dans notre tête d'adulte, que pour les enfants ! Quel manque pathologique de curiosité ou, plutôt, combien les fées de notre enfance ont laissé dans nos mémoires une trace indélébile de ce que doit être une fée. Allez, il n'y a qu'à faire un petit tour du côté de Disney pour ressortir la fée traditionnelle pour les enfants… Et si les fées que je vous proposais étaient sur un modèle totalement différent, si seulement la page avait été tournée pour découvrir leur monde caché et leurs pouvoirs inclassables, si seulement, la curiosité l'emportait sur le temps et les Aila et la Magie des Fées ! Si seulement…
Pour terminer, êtes-vous le « tablonaute » type ? Si votre curiosité vous titille, consultez le lien suivant !

3 AvrilJour J - 12 (de la fin du jeu). 12 jours ! C'est trois fois rien ! Donc trois fois plus de raisons de se précipiter sur UPblisher pour jouer !
Je crois qu'à tous il peut nous arriver de douter… Moi, c'est maintenant. Cela doit être probablement le genre de confidences à ne pas partager. Pourquoi ? Je suis un être humain dans toute sa splendeur, alliant contradictions, grandeurs et décadences ! Alors pourquoi pas le doute ?
Écrire est une aventure merveilleuse, mais je ne suis qu'une débutante pleine de volonté, même pas un professeur de français, lui au moins connaisseur de toutes les finesses de la langue française et passé maître dans l'art de les employer. Non, je suis juste un professeur de sciences physiques, amoureuse des mots et des idées, une conteuse à l'imagination fertile. Souvent, quand je me relisais, je racontais à haute voix les mots que j'avais écrits comme je l'aurais fait d'une histoire le soir pour mes enfants. Si l'écrit est important, le passage à l'oral l'est tout autant et raconter des histoires, ça, je sais faire.
Si je poursuis ma réflexion, il m'apparaît que j'ai encore tout à apprendre. D'autre part, je me connais suffisamment pour savoir que tout ce chemin que j'ai suivi jusqu'à présent m'a mûrie et qu'aujourd'hui je suis capable d'en tirer des leçons et de les appliquer. Je ne suis en rien un être figé par la vie. Je peux et veux encore grandir, encore évoluer et, le plus important, c'est que j'en suis capable. Alors, à la place de douter, si je croyais…
En ce moment, je voudrais tout ! Tout savoir, tout pouvoir, tout comprendre et le temps ne m'en est pas donné. Chaque jour est un défi que je relève pour rattraper mon retard. Notez, je n'en suis même plus au stade de chercher à prendre de l'avance, non, je veux juste parvenir à finaliser mon travail sur le fil. Rien que d'y penser, la liste de toutes les tâches qui m'attendent s'affiche dans ma tête et défilent à toute vitesse ! Non, je ne vais rien oublier, tout sera fait le moment venu, c'est juste une obligation à laquelle je ne dérogerai pas, je suis comme ça. Bonne journée !

1er AvrilJour J - 14 (de la fin du jeu). Plus que 14 jours pour jouer ! Soyez directif ! Entraînez vos amis et allez sur UPblisher et jouez ! Trois liseuses, des ebooks en jeu !
Notre vie manque-t-elle de flammes ? Il m'arrive trop souvent de croiser des visages fermés et des yeux éteints. Il suffit de si peu pour faire naître des étoiles ou quelques étincelles dans un regard : une situation comique, un visage ami, un peu de magie… ou de poésie. Voici, pour le régal de vos yeux, un instant où les mains et le sable deviennent créateurs de bonheur : à voir et à revoir !
Alicia est en train de devenir une experte en sujets à partager avec sa maman. Cela fait partie de sa contribution à mon aventure littéraire, accompagnée d'une certaine fierté que je trouve touchante. Cette fois, elle m'a mise sur la piste d'une artiste, Alicexz, qui appartient à une communauté toute dévouée à l'art. En voici un aperçu, vous pouvez découvrir ses autres œuvres dans sa galerie.
Petit poisson deviendra gros ! Je vous souhaite un joyeux 1 avril. Petit plus pour les amateurs d'images ou de Napoléon.




'