✑ Les archives du blog de FANTASY de mai 2012 de Catherine Boullery

Les Archives du blog de #fantasy de mai 2012
tome 1 - Aila et la Magie des Fées

La saga d'Aila  fantasy


fantasy

Note : 4.6 / 5 avec 283  critiques

Les archives du blog de fantasy d'Aila de mai 2012

31 maiHier, je discutais avec vous de liberté et avant-hier du talent, voire du génie qui habitait un certain nombre de personnalités dont les noms appartiennent à notre histoire. Aujourd'hui, les petits génies existent encore ! En voici la preuve avec ce jeune homme de 16 ans qui vient de résoudre une équation réputée insoluble sur le calcul de la trajectoire précise d'un projectile soumis à la gravité et à la résistance de l'air, puis son rebond. Posée par le célèbre physicien Isaac Newton et vieille de 300 ans, elle avait cassé les dents d'un grand nombre de mathématiciens réputés, arrêtés au niveau d'une résolution partielle, et c'est un jeune homme avec son regard neuf, détaché de considérations liées à l'apprentissage (qui nous engluent parfois dans un système de réflexion) et d'une vision prédéfinie par une trop grande expérience. Comment faut-il raisonner pour être traversé par un éclair de génie ? Clairement, différemment des autres ! Un esprit doit être animé d'une très grande liberté pour être capable d'aborder un sujet en sortant des sentiers battus. Conclusion : les génies existent encore. Mais parlera-t-on encore de lui dans quelques siècles ? En attendant, je le salue bien bas, car je suis complètement admirative devant son intelligence et l'utilisation efficace qu'il en fait. Bravo à Shouryya Ray !
Hier soir, j'ai regardé « Les experts ». J'aime bien les émissions de police scientifique et j'assume totalement. Je prends ce qui est intéressant à retenir et, parfois, cela me donne des idées pour mes élèves en enseignement d'exploration (si seulement cela pouvait aussi leur en donner, tout serait parfait) ! Le plus drôle est que je parviens à glaner d'autres connaissances que celles purement scientifiques. Ainsi, le chanteur du groupe Train a fait une apparition dans un épisode et, hier, j'ai découvert un groupe dont j'ai apprécié les mélodies : Rascal Flatts. Quelques données techniques (!) sur tout ce petit monde avant la découverte de leur univers musical :
- Train : c'est un groupe de rock alternatif américain. Il apparaît dans Les experts Manhattan (épisode 11, saison 6, merci Wikipedia !). Le chanteur principal de groupe, Patrick Monahan, incarne le rôle d'un ancien SDF suspecté de meurtre avec, en toile de fond, une histoire de voiture criminelle à élucider.
Quelques titres à découvrir : Meet Virginia, Hey Soul Sister, If it's love et Something More et mon préféré Shake Up Christmas, chanson Coca-Cola Noël 2010.
- Rascal Flatts : c'est aussi un groupe américain, mais de country cette fois (décidément, elle ne me lâche plus !). Dans l'épisode d'hier, leur bassiste se fait gravement électrocuter. Il survit, mais a tout oublié et découvre pendant son amnésie qu'il est un rappeur né ! Le méchant de l'histoire est l'électricien dont c'est la dernière tournée qui a juste voulu le mettre hors d'état de jouer pour le remplacer au moins une fois sur scène. Le commentaire d'un des membres du groupe m'a marqué, il a dit simplement : « Tu n'avais qu'à le demander, on t'aurait laissé jouer » ou quelque chose d'approchant Toute cette histoire qui aurait pu tourner au drame aurait simplement été évitée par une demande. Finalement, avons-nous suffisamment appris à demander ? Et savons-nous ce qu'est une véritable demande ? Il ne faut pas oublier qu'il existe deux réponses possibles à lui apporter, oui ou non, et il faut être en mesure d'accepter les deux de façon positive. Sinon, ce n'est pas une demande, mais une façon polie d'exiger quelque chose ! À méditer !
Quelques titres à découvrir : What hurts the most, Stand, Words I Couldn't Say et Unstoppable et, version dans les experts, cela donne Les Experts - Rascal Flatts. Ça y est, je suis amoureuse ! C'est mon mari qui ne va pas être content ! C'est le style de musique qui me donne des ailes et je vole !!!!!!!!!! Comptez sur moi pour vous reparler d'eux bientôt !
J'oubliais de vous raconter que, pour le spectacle de country, je suis devenue l'heureuse propriétaire d'un jean et d'une chemise à carreaux. Christelle et Dominique, nos deux animatrices de choc, nous ont trouvé de super chapeaux et fourni le bandana. De plus, grâce à la fantastique ambiance du groupe, je peux même choisir ma chemise entre plusieurs modèles et le tee-shirt à la taille qui me convient le mieux ! Finalement, nous avons tous appris Hello Dolly pendant le cours, c'est nettement plus facile que tout seul en regardant la vidéo, mais pas encore suffisant ! Dire qu'il ne nous reste plus que deux cours pour finaliser le spectacle ! Aïe aïe aïe !
Petit retard pour la publication du blog dû à la perte de la connexion internet…

30 maiNe vous êtes-vous jamais demandé ce qu'il serait advenu d'un homme ou une femme d'un passé proche ou lointain ayant rencontré un destin hors normes (un chanteur, un tragédien, un homme politique) s'il ou elle était né dans un autre temps. Est-ce son talent propre qui fait de lui ou d'elle une personne reconnue ou ce talent n'est-il qu'un élément adapté à une époque, une famille grâce à laquelle il a réussi à s'exprimer ? Aujourd'hui, il se manifeste sous d'autres formes que celles qui fonctionnaient hier. Existe-t-il aujourd'hui un alter ego à Léonard de Vinci ou à Mozart ? Sans aller aussi loin, Édith Piaf et Maurice Chevalier auraient-ils une place entre Beyonce et Lady Gaga ? Les modes et les goûts changent, seule la nostalgie des disparus reste jusqu'à ce que tous ceux qui avaient aimé une personnalité (avec, en plus, leurs descendants auxquels parfois ils ont transmis leur admiration) aient disparu. Sauf peut-être pour les véritables talents. Mais quels sont-ils ? Quels sont ceux aujourd'hui dont la célébrité résistera au temps et qui laisseront leur nom dans l'histoire ?
Un article indiquait que les noms plus connus dans le monde d'aujourd'hui étaient la marque Coca-Cola et le chanteur Mickael Jackson. Il paraît finalement tout aussi difficile de franchir les barrières d'une culture vers une autre à une même époque. Les différences culturelles sont une richesse, mais, dans le même temps, ne nous enferment-elles dans un système d'habitudes et de goût prédéfinis ? Nous nous croyons libres, libres de choisir, mais n'est-ce pas une illusion ? Nous sommes tellement déterminés par notre éducation ou par notre opposition à elle, qu'il semble légitime de se demander où se situe vraiment notre liberté.
Peut-être s'exprime-t-elle dans une forme de folie douce comme le montrent les images de ces hommes ou femmes « awesome » qui repoussent les limites des exploits à l'échelle de l'humanité. À ne pas reproduire naturellement ! Chaque être possède des limites dont il doit être conscient ; les dépasser met sa vie en danger. Derrière ses images de réussite, combien de pionniers de l'extrême ont fini leur vie trop tôt ou mal ? Interdire n'est pas toujours la meilleure solution, mais réfléchir certainement, identifier au chemin que doit prendre sa vie et le suivre (dans le respect des autres, c'est mieux). Une véritable liberté ou la soumission à des pulsions incontrôlables ? Une autre forme d'illusion plus pernicieuse peut-être
Sur ces interrogations sans réponses, je vous souhaite une bonne journée.

29 maiHier, nous étions au royaume des illusions et de la poésie sous toutes ses formes. Je vous propose de poursuivre ce même chemin vers de nouvelles surprises ou découvertes.
Commençons par ce tour de cartes fort particulier. Alors, réel talent ou trucage ?
Voici toute la magie du numérique dans une utilisation inédite d'un iPad (en allemand). Je suis certaine que vous ne saviez pas qu'en achetant une tablette vous deveniez les détenteurs de pouvoirs presque surréalistes !
Nouvelle vidéo à la fois visuelle et scientifique sur les effets d'impact (balles, flèches et projectiles moins dangereux) sur différents objets. Ces expériences, bien filmées, offrent grâce au ralenti une lisibilité parfaite des conséquences de ces impacts. Regardez en particulier la déformation de la main en train de casser une espèce de parpaing, c'est impressionnant et je n'imagine pas une seconde d'être à la place de celui qui le brise en deux ! Naturellement, aucun des tests dangereux n'est à refaire chez soi pour des raisons de sécurité.
Quand j'étais petite, j'adorais observer les images que donnait un kaléidoscope (versions 1 et 2). Maintenant que je suis devenue grande (enfin presque), j'aime toujours !
Je ne suis (malheureusement) pas une bonne dessinatrice, mais cela ne m'empêche pas quand je dispose d'un peu de temps de me faire plaisir et de croquer un petit quelque chose. De plus, j'adore regarder ceux qui vous construisent en quelques coups de crayon, pinceau, couteau, feutre ou spray (1 et 2) de très jolies compositions. Je ne peux qu'admirer leur dextérité tant sur le point de leur conception parfois sans la moindre esquisse préalable que sur leur apparente facilité de réalisation. Même si certaines présentations sont en accéléré, notez quand même leur grande rapidité d'exécution. Je doute que Léonard de Vinci eût été aussi rapide !
Cela m'a donné l'occasion de découvrir un artiste américain Bob Ross. Ce peintre, né en 1942 en Floride, a animé une émission de télévision réputée « The joy of painting » dispensant ainsi des cours de dessin, en particulier sa technique différente de celle de la peinture à l'huile classique. Son succès a été de courte durée, car l'homme est mort prématurément à l'âge de 52 ans, mais la société qui l'a accompagné dans sa notoriété continue de vendre tout ce qu'il faut pour faire de vous les artistes de demain ! Découvrez le peintre dans quelques-unes de ses compositions : 1, 2, 3 et 4. Une dernière remarque : finalement a-t-on encore besoin d'un coup de main pour peindre ? Il suffit de considérer ce qu'il est possible de faire avec un logiciel
Si vous voulez en découvrir plus sur l'art cinétique que je vous ai présenté hier, voici une émission (en anglais) qui vous montre les subtilités de la construction des matrices, c'est vraiment passionnant !

28 maiLe retour du soleil est bénéfique pour notre esprit lassé de pluie et de grisaille. Dans le même temps, il me donne des envies de lenteur et de rêverie qui ne sont pas en totale cohérence avec mes tâches quotidiennes ! Imaginez : un petit hamac dans la douceur ambiante, un soupçon de fraîcheur avec un petit verre d'un cocktail de fruits exotiques, le chant des oiseaux Il ne manque plus que le bruit régulier des vagues pour me sentir bercer et m'endormir d'un sommeil paisible et réparateur ! Non, non, aucun départ prévu pour demain, ni pour la Thaïlande, ni pour ailleurs !
Aujourd'hui sera une pause dans notre voyage autour du monde. Je vais faire dans l'inutile et l'agréable pour se secouer les méninges ou pas. Pour débuter, un petit test :
« Sveaz-vuos lrie?
Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mtos n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot
La pvuere
 »
un pniot puor la mhéodte gblaole ? En ciolcuosn à ce tset, je vuos porospe une pttiee sirée de voédis puor puqeir vrote coritisué.
Voici une première illusion bluffante avec une sorte de dragon qui ne vous lâche pas du regard. La conclusion est plus que surprenante ! Incredible!
Quelques illusions d'optique sur sol pour compléter le tout ! Quel talent de dessinateur qui offre, en plus, une véritable perception des volumes, cela laisse songeur
Découvrez un instrument de musique hors normes et totalement extraordinaire ! Un peu moins réel, mais tout aussi magnifique un vielharmonie à la conception kaléidoscopique.
Enchaînons avec deux sculptures cinétiques, 1 et 2 totalement fascinantes Finalement, les frontières sont très étroites entre l'art, les sciences et la poésie. Une autre façon de lier l'art à la patience et au mouvement avec des figures en dominos (version courte et longue).
Nous parlions de poésie ? Je vous invite à la découvrir ou redécouvrir les dessins sur sable, eau, main ou café ! D'ailleurs, vous remarquerez que la dernière vidéo a été réalisée en Thaïlande. Au secours, je suis poursuivie !
Poésie toujours avec des mains aux performances extrêmes, c'est le moins qu'on puisse dire !
Ne parlons pas de poésie sans nommer ceux qui en furent les auteurs : les poètes. Voici un de ceux qui a marqué mon enfance : « Quand vous serez bien vieille » de Pierre de Ronsard (1524-1585) en version modernisée.

« Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle,
Assise auprès du feu, dévidant et filant,
Direz chantant mes vers, en vous émerveillant :
« Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle. »

Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle,
Déjà sous le labeur à demi sommeillant,
Qui au bruit de Ronsard ne s'aille réveillant,
Bénissant votre nom de louange immortelle.

Je serai sous la terre, et fantôme sans os
Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ;
Vous serez au foyer une vieille accroupie,

Regrettant mon amour et votre fier dédain.
Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain :
Cueilllez dès aujourd'hui les roses de la vie.
 »

Une belle façon de commencer ou de finir sa journée

27 maiPas le temps de s'ennuyer, j'enchaîne les activités les unes après les autres. Si seulement, je pouvais trouver un moment où je pourrais me poser sans me réciter la liste de tout ce qui me reste à faire. Inutile de rêver, le temps propice à la rêverie et au farniente n'est pas venu. Je dois continuer à être patiente, encore et toujours
Notre escale en Thaïlande n'est pas terminée. Nous n'avons pas encore épuisé ses multiples facettes, alors reprenons notre voyage initiatique (enfin, pour moi !). Commençons par un spectacle 3D dans un site hors normes, c'est magnifique ! Restons à proximité de Bangkok et visitons Muang Boran, situé dans un parc de 128 hectares. Vous voulez tout savoir de la Thaïlande en une seule journée alors cet endroit est pour vous. Ce musée original, aux formes de la Thaïlande, offre à ses visiteurs la découverte des caractéristiques propres à chaque région en présentant leurs édifices majeurs : stupas, temples, ruines et maisons typiques. Ces œuvres d'architectures aussi diverses que variées baignent dans la culture thaïe, omniprésente dans l'atmosphère du lieu.
Retournons vers la capitale pour visiter le palais royal (vidéos 1 et 2) dont vous avez eu un aperçu hier dans certaines vidéos pour lui donner la place qu'il mérite. Il a été construit à la fin du XVIIIe siècle, le palais royal de Bangkok s'étire sur 218 000 m², palais dans lequel plus aucune famille ne réside. Les plus beaux attraits de ce lieu restent le temple Wat Phra Kaeo et le Bouddha d'Émeraude.
Passons à présent sur l'aspect plus artistique qu'architectural avec les danses et les musiques thaïlandaises : 1, 2, 3, 4. Personnellement, je reste assez hermétique à ces rythmes lents et ces gestes, bien que gracieux, sont retenus au point qu'aucune émotion ne transparaît. C'est une autre civilisation avec une autre culture et une approche différente de ce que la musique et la danse doivent exprimer. Au final, j'apprécie juste le côté esthétique de la danse et la gestuelle des doigts de leurs mains qui demande une certaine maîtrise.
J'ai le plaisir de vous offrir la version karaoké d'une chanson thaï (ou pas loin) dont le tradition n'a guère été effacée par la modernité. Cela donne un bizarre mélange des genres qui me laisse sans voix. De plus, je vous inviter à imaginer juste un instant Lady Gaga projetée dans un monde à cette image et souriez !
Un dernier regard sur la Thaïlande que je peine à quitter, tant je devine la présence de secrets que nul site ne m'a encore dévoilé.
Voici une dernière vidéo avec une danse apparemment d'origine chinoise absolument magique ! N'hésitez pas à y jeter un coup d'œil !

26 maiPoursuivons notre escapade asiatique vers un autre endroit de l'Indonésie : la Thaïlande (galerie de photos + carte) où je ne suis jamais allée. C'est donc une occasion pour moi de visiter cette île de loin et de découvrir, outre son aspect paradisiaque, les trésors qu'elle recèle. C'est un pays un peu plus petit que la France avec une population d'environ 65 millions d'habitants. Sa capitale est Bangkok (plus de 10 millions d'habitants). La Thaïlande possède une multitude de petites îles, situées principalement le long de sa langue de terre entre la mer des Andaman et le golfe de Thaïlande, telles que Phuket, îles Phi Phi (Koh Phi Phi Don et Koh Phi Phi Lee), Koh Lanta (si vous l'ignoriez, maintenant, vous savez d'où vient le nom de l'émission télévisée !), Koh Tao, Koh Samet, Kho Samui, etc. Conclusion : plage de sable, mer bleu turquoise, soleil et petites criques enchanteresses, que du bonheur ! Ah, j'oubliais pour les amateurs de plongée, des poissons à profusion !
Mais si c'est peut-être cette image-là qui est la plus courante, il ne faut en rien oublier des traces que l'histoire (en anglais) de la Thaïlande a laissées en témoignage de son passé aux contemporains dont des temples magnifiques (vidéos 1 et 2) : Sukhothai (âge d'or), Ayutthaya (l'apogée du Siam), Chiang Mai (au royaume Lan Na), les citadelles khmères de l'Isan, Lopburi, ses singes et son festival (!), et ceux de Bangkok : Wat Phra Kaeo (joyau du Royaume), Wat Pho, Wat Arun (temple de l'aube), Wat Suthat (temple de la balançoire) et pour terminer magnifiquement, à Chiang Rai, Wat Rong Khun (temple blanc).
Personnellement, cette rencontre avec la Thaïlande est vraiment une découverte. Je suis totalement séduite par les criques rocheuses et les temples aussi beaux que variés, même si certains sont un peu chargés, cela rentre dans un style particulier qui a du charme, sauf si votre préférence se tourne vers un aspect plus épuré. Ne nous arrêtons pas en si bon chemin, la suite demain !
J'ai commencé à étudier seule la dernière chorégraphie (Hello Dolly) du spectacle de country. Si le début (8 premiers temps), je gère, je décroche dès que la danse s'apprête à changer de mur, yes !

25 maiQuittons l'Amérique du Sud pour y revenir plus tard. Elle présente encore tant de pays avec tant d'histoires extraordinaires et de paysages fabuleux que je ne saurais l'oublier trop longtemps. En attendant ce retour prochain, cap sur l'exotisme et sur une île indonésienne belle et naturelle : Bali (vidéos 1 et 2 + carte. Je ne suis pas certaine d'avoir visité cette île paradisiaque comme je l'aurais fait si nous avions été seulement Didier et moi. Mon mari avait gagné ce voyage et le programme ne laissait pas beaucoup de place à l'improvisation. J'en garde malgré tout un bon souvenir : une végétation luxuriante (végétation et autres, plante Shy Princess), des volcans, des danses et des musiques magnifiques (Legong Dance, Tari Cendrawasih, Gamelan Bali), des temples (Le Taman Ayun de Mengwi, 2 sur air de flûte et Bambou), des poissons 1 et 2) et un hôtel avec un bar dans la piscine !
Le plus difficile pour moi a été de réussir à partir ! Comme tous les voyages de ce type, ils ne peuvent être pris qu'en dehors des périodes scolaires, ce qui est impossible au regard de mon métier, mais un concours de facteurs favorables m'a finalement permis de décamper avec mon petit mari ! Par exemple, à l'époque, il existait encore la « journée du maire », journée que le maire pouvait attribuer à une journée ouvrée qui devenait fériée pour les élèves et leurs enseignants (c'était bien !) pouvant ainsi créer un pont prolongé qui n'existait pas, par exemple. En profitant de cette journée associée à un jour férié, d'une journée sans cours et, avec l'accord de mon proviseur, en déplaçant les heures de cours qui me restaient, je suis parvenue à faire mes valises et à voler vers l'Indonésie !
Le plus extraordinaire souvenir que m'ont laissé les Balinais est leur sourire. Il était sur tous les visages, tout le temps et c'était merveilleux. Cela vous entourait d'une forme de chaleur permanente au sein d'une population accueillante. De quoi vous donner envie de rester là-bas jusqu'à la fin des temps.
Malheureusement, mes vacances, subtilisées sur mon temps de travail (rattrapé ensuite), ont connu une fin et le retour à la civilisation a ressemblé à un choc entre deux cultures. Rien que le fait d'observer les gens à l'aéroport de retour m'amenait à frôler le désespoir. Sur leurs traits, se lisait une morosité affichée et ils n'offraient aux yeux du monde que leur visage fermé et maussade ainsi que leur bougonnement désagréable. Je me souviens même d'une femme qui m'a bousculée sans même m'apporter la plus petite attention : ni excuse, ni regard, une transparence presque douloureuse. À ce moment précis, j'ai pensé que je voulais repartir à Bali tout de suite ! Il me semblait insupportable de revenir partager cette vie avec des « grincheux » ! Heureusement, chaque terre est riche de diversités et, à côté de ces derniers, d'autres personnes respirent la joie de vivre et le bonheur partagé !
Dernière chorégraphie du final du spectacle de country qu'il va falloir apprendre à toute vitesse, car il ne reste plus que deux cours : Hello Dolly. L'horreur se poursuit !
Le soleil est revenu. J'ai couru hier, mais je doute recommencer aujourd'hui, il fait vraiment très lourd ! Bonne journée.

24 maiPromis, juré, dernier blog sur l'Argentine ! Je voulais simplement terminer en beauté avec les chutes d'Iguazú (photos 1 et 2, vidéos pour en voir plus 1 et 2 ), inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1984. Situées à la frontière entre trois pays (Argentine, Paraguay et Brésil), elles s'étendent sur une longueur de 2700 m et constituent l'une des cataractes les plus grandes et les plus impressionnantes du monde. Si vous regardez la vidéo, vous observerez d'importants nuages d'embruns dont les conséquences sont une végétation très luxuriante.
Une petite anecdote. Même face à un paysage aussi extraordinaire, mes yeux s'égarent sur tout ce qui m'entoure. Tournant le dos au fabuleux spectacle des chutes, je m'étais accroupie pour prendre des photos sous le regard curieux de ceux qui passaient. Que pouvais-je donc bien prendre de si petit et intéressant que j'en arrivais à me détourner de la splendeur locale ? Oh, pas grand-chose, juste une toute petite araignée dans un rayon de soleil. Elle a suffi à me faire oublier l'espace d'un instant un des plus beaux sites mondiaux !
Nous ne pouvons quitter ce pays plein de magie sans voyager dans sa musique et ses danses. Voici un titre de Mercedes Sosa avec Gracias a La Vida avec les paroles de la chanson à la suite de la vidéo. Extrait :
Merci à la vie qui m'a tant donné
Elle m'a donné deux faisceaux de lumière qui, quand je les ouvre,
Me permettent de distinguer parfaitement le noir du blanc
Autre instant, autres styles à découvrir, variés ou guitare. À présent, guelques danses folkloriques avec le Malambo, danse individuelle pleine d'énergie, le Bolas, le bolas étant une arme constituée par une ou plusieurs cordes terminées par des masses et utilisées pour capturer le bétail avant de devenir un accessoire de danse à la fois visuel et sonore pour les Gaúchos, et une démonstration de tango argentin, absolument incontournable, entre ombre et lumière, en spectacle ou en version inattendue.
Dernière chorégraphie de la deuxième partie du spectacle de country : Swing low Sweet Chariot. C'est l'horreur ! J'ai l'impression de tout mélanger ! Surtout que, dans le spectacle, j'ai à peine le temps de me mettre dans une chorégraphie que je dois en changer ! Au secours !
Malgré mon agonie prochaine, profitez bien de votre journée.

23 maiPoursuivons notre escale en Argentine avec de magnifiques vues panoramiques, puis une découverte de la Pampa, zone herbeuse où alternent terres cultivées (luzerne, blé, maïs et tournesol) et vastes prairies réservées à l'élevage. En Argentine, elle occupe près de 20 % du territoire.
J'ai des souvenirs partagés sur la journée passée dans le train des nuages (Tren a las Nubes), même si l'originalité de la promenade m'a séduite par les paysages traversés et les perspectives qu'elle offrait. Cela reste malgré tout quinze heures de train et aucune balade, ou presque, à pied, c'est long ! La station de départ se situe à Salta (1200 m d'altitude) tandis que le terminus culmine à plus de 4000 m d'altitude. Une quantité non négligeable d'Argentins ont connu le mal de l'altitude lors de cette montée rapide (saignements de nez, maux de tête) alors que nous qui venions de Bolivie n'en ressentions aucun effet.
L'air en altitude se raréfie et la quantité d'oxygène nécessaire au bon fonctionnement de l'organisme n'est plus suffisante dans une inspiration pour des personnes qui, comme nous, ne vivent pas à de très hautes altitudes, cela se traduit entre autres par une augmentation du rythme cardiaque pour apporter la quantité d'oxygène nécessaire à l'organisme (essoufflement, tachycardie). Une bonne attitude serait de monter progressivement pour laisser le temps à notre corps d'augmenter son taux de globules rouges et ainsi de renforcer les échanges d'oxygène entre le sang et les organes. C'est d'ailleurs ce que souhaitent les sportifs lorsqu'ils partent s'entraîner en altitude, car cela les rend plus résistants face à l'effort.
Pour ceux qui vivent toujours en altitude, leur corps s'est adapté à la situation. À l'époque de notre voyage, il m'avait été expliqué que les capacités pulmonaires des Péruviens étaient plus développées que les nôtres. La conséquence en était qu'une inspiration leur apportait plus d'oxygène qu'un individu normal. Dans le même temps, leur taux en hémoglobine est toujours à un niveau plus élevé que la moyenne pour pallier les inconvénients liés à l'altitude.
Nous terminerons notre voyage argentin demain.
Deuxième chorégraphie de la deuxième partie du spectacle de country avec une de mes préférées Celtic Angel. Non, je ne veux pas vous entendre vous plaindre, cela ne fait que trois fois que je vous la présente, ça pourrait être pire !
Bonne journée !

22 maiHier matin, j'ai contacté différentes personnes de la mairie en vue du Salon du livre de Sartrouville auquel je vais participer le 24 juin prochain. Je souhaitais connaître les conditions pratiques d'accueil (largeur des tables, prises de courant, WiFi). Résultat : un mètre pour la demi-table, pas de WiFi, mais du courant, donc tout va bien. Ce qui est super, c'est que toutes les personnes avec lesquelles je discute sont vraiment disponibles et agréables !
Puis, en fin de journée, nouvelle réunion avec Catherine et Stefan à ce sujet qui nous a permis d'avancer. Je voudrais tellement partager avec d'autres la chance que j'ai d'être chez UPblisher. Quand je dis d'autres, ce ne sont pas obligatoirement des lecteurs, mais aussi des écrivains à la recherche d'humanité dans l'édition. Il existe sûrement quelques structures apportant la même écoute, mais, égoïstement, l'important est que, moi, j'ai eu la chance de tomber sur l'une d'entre elles.
Repartons dans le voyage, la tête dans les nuages et les pieds sur terre, tout en restant en Amérique du Sud et, d'un geste de l'esprit (on se croirait à la place d'Aila !), parcourons la distance qui nous sépare de l'Argentine. L'évocation même de son nom sonne de façon cristalline et la diversité qu'elle renferme est à l'image d'un feu d'artifice : des couleurs, du mouvement, du bruit et le regard fasciné de l'observateur face à toutes les richesses et les contrastes qu'elle offre. Commençons par la capitale Buenos Aires, la région de Salta, les fameuses montagnes colorées de Purmamarca ou montagnes aux sept couleurs (photos). D'un point de vue purement esthétique, c'est fabuleux et, d'un point de vue géologique, c'est extraordinaire ! Je sais, je suis professeur de sciences physiques, alors quelles idées me passent par la tête quand je m'émerveille devant les beautés naturelles en guettant une explication scientifique ! J'ai toujours aimé savoir et comprendre et je n'aurai pas assez de ma toute vie pour découvrir tout ce que je ne sais pas ou redécouvrir tout ce que j'ai oublié. Et comme, en plus, je m'intéresse à de multitudes de sujets, j'ai encore du chemin pour me cultiver !
L'Argentine est un grand pays. Il me faudra plus que le blog d'une journée pour l'entrevoir. Alors, rendez-vous demain pour la suite. Il me reste un dernier désir, celui de vous emmener à survoler la cordillère des Andes (début de la vidéo et photos).
Un petit article sur le démarrage difficile du numérique. Tandis que l'offre numérique se développe au Royaume-Uni et aux États-Unis (respectivement 10 % et 15 %), elle décolle à peine du 1 % en France, c'est-à-dire trois fois rien.
Présentation du début de la deuxième partie du spectacle de country avec Mamma Maria, une chanson du groupe Ricchi et Poveri et l'apprentissage de la danse en ligne en prime. Essayez donc, juste pour voir quel danseur exceptionnel vous seriez si vous dansiez au spectacle avec moi !
Bonne journée !

21 maiPoursuivons notre étape au Pérou avec les extraordinaires lignes de Nazca. Premier souvenir éblouissant, celui de mon vol d'initiation dans un petit avion pour les admirer vues du ciel et un second un peu plus triste, celui de Maria Reiche qui a dévoué sa vie à ces dessins incomparables et qui fut l'invitée du gouvernement péruvien jusqu'à sa mort en 1998. Quand nous l'avions vue lors d'une de ses conférences, elle était déjà bien vieille et s'embrouillait rapidement entre les différentes langues qu'elle parlait. Finalement, il devenait difficile de suivre ce qu'elle avait à raconter. À l'époque, je me suis demandée si c'était son désir à elle de participer à ses réunions ou celui du gouvernement péruvien de l'« exhiber » comme l'objet précieux qu'elle représentait pour eux.
Savez-vous que ces dessins, uniquement visibles du ciel, ont pu être tracés grâce à de simples règles géométriques, que l'aspect clair des motifs s'explique par les différences de coloration entre la couche superficielle composée de cailloux contenant de l'oxyde de fer et celle juste en dessous, plus claire (il suffit donc de repousser les cailloux pour faire apparaître le contraste du tracé) et que le sol très chaud crée une couche d'air protectrice des effets du vent d'où la conséquence positive suivante : il ne s'est produit aucun balayage de ces gravures réalisées à même le sol depuis plus de deux millénaires.
Rejoignons le plus haut lac navigable du monde (3800 m d'altitude), le lac Titicaca de 8 500 km2 (photos et vidéo) qui se partage entre le Pérou et la Bolivie. Passons du premier pays vers le second et découvrons La Paz (vidéo), une capitale qui s'étend sur près de mille mètres de dénivelé, les plus pauvres en haut (4 000 m) et les plus riches en bas, proches de la Vallée de Lune (31 photos) qui offre un paysage de roches dentelées par l'érosion et piquées de cactus impressionnants.
Parmi les autres richesses de la Bolivie, retrouvons Le Salar d'Uyuni et la Laguna Verde et autres (vidéos 1 et 2, 3) jusqu'auxquels nous ne sommes pas allés lors de notre escapade en Amérique du Sud, ce que je regrette. Par contre, nous nous sommes déplacés jusqu'à Potosi (vidéos 1 et 2) et ses mines d'argent.
Terminons en beauté par quelques musiques andines qui réunissent les ambiances locales du Pérou et de la Bolivie : Chimba chica, El llanto de mi quena et Guerrero Aymara.
Avant de passer à la deuxième partie du spectacle de country, je voulais vous présenter une danse pour les moins débutants que moi : Chicken Walk Jive. Je la veux ! Vivement que je progresse !
Comme ce n'est que le premier jour de la semaine et sans jour férié cette fois, je vous souhaite bon courage !

20 maiEnvolée vers le Pérou et l'empire des Incas (parties 1 et 2 avec les Aztèques et les Mayas en prime) dans un voyage à la fois dans le présent et dans le passé. Cette civilisation atteignit son apogée entre le XVe et le XVIe siècle avant de disparaître en raison d'une lutte entre deux frères réclamant le trône et l'arrivée des Espagnols. L'histoire nous démontre une nouvelle fois que ceux qui veulent nous diriger ne le font pas dans le but de préserver leur pays, mais, seulement, dans celui d'accéder au pouvoir. Cela reste une grande tragédie qui, malheureusement, se poursuit encore aujourd'hui quand des dirigeants tirent sur le peuple sans le moindre état d'âme : plutôt tuer que de céder. Ces hommes-là ne sont pas à la hauteur de ce qu'ils croient, ce ne sont que des êtres égoïstes, emplis de haine et tellement vils qu'ils en deviennent méprisables alors que l'autosatisfaction est sûrement leur préoccupation quotidienne.
Parmi les symboles des Incas, l'or en est un primordial (musée de l'or dans la capitale Lima), un métal fascinant par sa couleur et sa brillance en accord avec le culte du soleil prôné par l'empereur. Comment ne pas être impressionné par ce peuple qui a su construire des édifices dans lesquels les pierres étaient taillées au point de s'emboîter parfaitement les unes dans les autres rendant tout mortier inutile, établir des cultures en terrasses dans des endroits vertigineux, les alimenter en eau par des systèmes de petits canaux, un peuple ingénieux au point de réaliser des temples capables de résister à des tremblements de terre de grande intensité. Le système était simple : une pierre concave dans laquelle reposait une autre convexe. Lors du tremblement de terre, l'une se déplaçait par rapport à l'autre, mais revenait rapidement à sa position initiale qui correspondait à une situation d'équilibre stable (d'où l'intérêt de la physique !). Et si l'intensité du tremblement devenait trop importante, la forme trapézoïdale des édifices faisait concourir les directions des forces sur une seule pierre qui claquait sous la pression exercée. Ensuite, il suffisait de la remplacer et le tour était joué ! C'est aussi la magnifique ville de Cusco rasée par les Espagnols et reconstruite sur les fondations incas, les nombreux sites archéologiques comme Pisac, Ollantaytambo, Sacsahuaman. N'oublions pas quand même que les Incas pratiquaient le sacrifice humain, dont celui des vierges du soleil, choisies pour leur beauté. En raison du caractère extrêmement sec du climat, des crânes de ces dernières ont été découverts avec une chevelure intacte, longue de presque deux mètres pour certaines. Il y en a encore tant à dire sur le Pérou que je poursuivrai demain !
Quelques ambiances péruviennes avec les sonorités si vibrantes de la flûte de pan : Chuklla, le célèbre El condor pasa, repris par le groupe Simon and Garfunkel, Ecuador Andes et Carnaval humahuaqueño.
Quatrième et dernière chorégraphie de la première partie spectacle de country sur une musique différente : Sixteen Steps. Celle-là, il faut que je la retravaille sérieusement. Depuis le début, je suis perdue dans cette danse en couple, aussi perdue que ma partenaire d'ailleurs ! Profitez bien de votre journée !

19 maiAujourd'hui, j'ai décidé de vous emmener voyager dans un pays que j'ai adoré pour ses grands espaces et sa richesse géologique : l'Islande. C'est vrai qu'il faut avoir un peu de chance pour le visiter dans de bonnes conditions, car à quelques heures ensoleillées peut succéder une tempête de neige en plein mois d'août. Didier et moi avions eu le bonheur infini lors de notre voyage de passer juste après elle et donc de profiter d'un relatif beau temps. Quelques rayons de soleil, un jour de grand vent, les pieds sur des laves encore tièdes ou dans des rivières glacées, des lits en mousse géante, des bains chauds par une température plutôt fraîche et un magnifique coucher de soleil avec des nuages lenticulaires de toute beauté.
Là-bas, c'est le paradis ! Vous en prenez plein les yeux avec des geysers, des volcans (comme celui dont l'éruption a paralysé la circulation aérienne en 2010) donc des roches volcaniques, des icebergs, des chutes d'eau (magnifique chute de Gullfoss), des macareux et des phoques au début du documentaire en anglais (44 min). Si vous regardez ce dernier un peu plus longtemps, vous aurez un aperçu de la capitale Reykjavik, des bains chauds, de la géothermie et peut-être des maisons enterrées sous un manteau de terre et d'herbe
Quelques recherches sur la musique islandaise pour vous offrir ces quelques chansons folkloriques : Vatnsenda Rösu, Ólafur Liljurös, Tyrkjaránid et Hestaskál og Heilræði.
Pour terminer, un dernier regard sur le Terre et ce qu'elle peut recéler de beautés et la troisième chorégraphie sur la liste du spectacle de Country Down on the corner, très sympa !
Bon samedi ! Pour ma part, je pars courir (voire mourir un peu tant cela persiste à être difficile) avec une copine !

18 maiLa mode est lancée, c'est décidé, je voyage de par le monde à la recherche éperdue de sa particularité dans ses danses et ses rythmes ou dans sa richesse personnelle. Petit tour pas très loin de chez nous avec un petit coucou à mes amis Grace et Julian. Grace est ma plus vieille amie. Je l'ai rencontrée quand j'avais 12 ans. En voyage scolaire, son groupe était venu visiter un collège français et, comme j'étais une des meilleures en anglais (cela m'est passé depuis), j'avais été chargée de présenter l'école à quelques élèves, dont Grace. Nous avions immédiatement sympathisé et commencé une correspondance régulière dès son retour en Écosse (petit tour dans les Highlands ?). Elle était présente à mon mariage et j'étais demoiselle d'honneur au sien. De magnifiques souvenirs : belle robe en soie sauvage d'un vert plein de profondeur, petit bouquet ajoutant une note lumineuse et fleurie, voyage en Limousine avec la mariée, sans oublier les danses écossaises ! Didier et moi nous sommes retrouvés en première ligne à tenter de suivre leurs rythmes entraînants et effrénés. Extraordinaire et épuisant ! Pire qu'un rock endiablé et, pourtant, j'ai adoré ! Donc musique pour le folklore écossais et danses 1, 2 et 3. Les qualités des dernières vidéos sont plutôt médiocres, mais elles possèdent un avantage indéniable, elles sont courtes ! Et puis la « numéro 3 » vous montre exactement le type de danses sur lesquelles j'ai dû improviser au mariage !
Je vous avais promis la seconde danse en ligne du spectacle de country : Picnic Polka. Mais, là, je suis totalement désabusée. Sur les différentes versions que j'ai pu regarder, aucune ne semble attraper la vache au lasso ! Mon monde vient de s'écrouler !
Bonne dernière journée avant le week-end !

17 maiLes défis se multiplient ! Au secours ! Je ne sais même plus comment je vais me sortir de tout ce que j'ai à faire. Un de mes prochains sujets de réflexion et de travail : le spectacle de country dans lequel je me suis engagée pour le 16 juin ! L'ambiance des cours est toujours aussi sympa et notre démonstration se fait sur un enchaînement de différentes danses, d'où la nécessité de travailler ma maîtrise encore trop aléatoire et, surtout, le passage d'une chorégraphie à une autre sans trop de cafouillages ! Aïe, aïe, aïe ! Mais non, je sais, je vais y parvenir. Tout est une question de volonté et de répétition ! Allez, pour ne pas se rouiller, un petit tour dans la musique country avec Cut and strut, notre première prestation ! Je révise et je reviens poursuivre le blog !
Bon, ça rentre, mais il ne faudra pas que cela ressorte, non, non ! Demain, ce sera la deuxième sur la liste : Pinic Polka. Dans celle-ci, on se prend pour un cow-boy qui prend la vache au lasso et la ramène ! Je ne vous dis pas comment nous sommes mignons quand nous nous prenons pour de vrais Texans, des purs, des durs ! Heureusement, mon mari sera le seul témoin familial de cette aventure (au milieu de tous les autres spectateurs, mais chut) ! Juste pour le plaisir, j'ai rafraîchi ma mémoire sur ma petite préférée, Celtic Angel, et j'ai bien fait
Pour clore cette ambiance tout d'un coup devenue celtique et pour ceux qui ne savait pas comment occuper leur journée de repos, voici tout un spectacle de Lord of the danse (1 h 32), danses et chants d'un style peu courant par chez nous. Mickael Flatley dégage une énergie extraordinaire lorsqu'il danse. Il se lance dans le rythme ou la musique avec une telle aisance qu'ils ne font qu'un. Je suis également impressionnée par la légèreté des danseurs. Ils donnent l'impression que réaliser leur prestation est d'une simplicité enfantine alors qu'elle demande des heures de travail et d'entraînement. Cela doit être cela le talent, celui de projeter le spectateur sans effort dans son œuvre. Par contre, je m'aperçois que je ne suis pas suffisamment douée pour appréhender les différences subtiles d'une danse de groupe à une autre.
La découverte de l'« Irish danse » m'a donné envie de prospecter plus avant dans les danses et rythmes du monde. S'il vous reste un peu de temps ou si vous préférez, voici un spectacle sur le folklore géorgien (1h07).
Profitez bien de ces heures de détente ! Bonne journée !

16 maiLes journées se suivent et ne se ressemblent pas. Hier, conférence téléphonique avec Catherine et Stefan d'UPblisher pour voir comment articuler le salon du livre pour la jeunesse de Sartrouville autour du livre numérique et de mon roman en particulier, le 24 juin. Comme à son habitude, Catherine nous a présenté une réflexion très structurée et pertinente sur l'approche qu'elle envisageait. Parmi toutes les idées partagées, présenter différentes liseuses aux visiteurs est intéressante. Cela permettra peut-être de faire tomber quelques idées préconçues sur le sujet et d'apporter des arguments pour faire évoluer les mentalités.
C'est ce qui m'est arrivé. Si je retourne quelques mois en arrière, j'avais une approche très lointaine du sujet, contrairement à mon mari qui, lui, a toujours été tourné vers les avancées technologiques. Des années auparavant, il me parlait déjà de l'intérêt du livre numérique quand j'en étais à empiler quinze livres papier au pied de mon lit et à n'y croire qu'à moitié !
Ce sera aussi l'occasion de parler de mon univers de fantasy à toutes les personnes qui auront le désir de s'arrêter à notre table, de présenter mon héroïne Aila, 16 ans, qui veut simplement devenir une combattante et qui se retrouve embarquée dans des aventures qu'elle ne souhaitait pas. D'abord, elle ne croît pas aux fées, alors, quand elle découvre qu'elle peut communiquer avec des êtres censés n'avoir jamais existé, elle rejette en bloc cette aptitude inattendue. Seulement, la vie vous rattrape parfois dans ce que vous ne voulez ni voir, ni entendre et la pauvre Aila sera bien obligée d'accepter l'inacceptable. Devenir une héroïne malgré elle n'est sûrement pas ce qu'elle aurait choisi, mais, une fois le pied dans l'engrenage, il devient difficile de contrecarrer sa destinée. Allez, courage Aila ! Je suis certaine que tu finiras par t'en sortir quelques tomes plus tard ou pas, c'est l'avenir qui nous le dira !
Bonne journée !

15 maiJ'ai craqué. Hier, après mes cinq heures de cours, je manquais profondément de courage, alors je me suis replongée dans le troisième volet cinématographique du seigneur des anneaux : Le retour du roi. J'avoue que j'ai passé un peu plus vite les batailles qui n'en finissent pas et j'ai carrément sauté - en me trompant de bouton sur la télécommande - la rencontre avec l'araignée sans faire marche arrière (acte manqué ? Pas du tout ! Je n'aime pas avoir peur !). Cela m'a donné envie de relire une nouvelle fois cette histoire fantastique à tout point de vue. Tolkien a été vraiment un précurseur dans l'écriture d'un monde créé de toutes pièces à la fois riche et original.
Pourtant, sa fin, au lieu de me réjouir, me laisse le cœur en peine. La paix est revenue sur la Terre du milieu et, pourtant, Frodon quitte à jamais ses amis et la Comté. Sa blessure infligée par un Nazgûl continue de le faire souffrir, même des années après, et il est clair que c'est un être tourmenté. Comment un homme dont la vie paisible a tourné au cauchemar, celui d'un héros malgré lui, peut-il redevenir comme avant ? L'anneau a dû laisser, malgré la résistance naturelle du Hobbit à son emprise, une marque bien réelle dans un cœur qui a été dévoré par cet amour exclusif. Existe-t-il encore un espoir d'apaisement ailleurs pour lui ? Je sais que c'est pour cela que Frodon part, mais le prix à payer me paraît bien élevé pour un être auquel il a été confié une tâche irréalisable. Même bien entouré, quelle sera sa nouvelle vie ? Et dans quel monde séparé de celui des hommes ? C'est là que mon imagination devrait combler les questions laissées par l'histoire, mais cette dernière n'est pas la mienne et je n'ai pas envie de penser à la place de Tolkien. C'était un maître et je le salue bien bas.
Je crois que ma pensée ne sait toujours s'arrêter à la fin d'un livre ou à la fin d'un film. Ma projection dans les personnages ou dans des situations qui me touchent est si grande que l'avenir des personnages me préoccupe et je m'interroge sur les différentes voies qu'il peut emprunter, comme dans le film « À bout de souffle" » que j'avais été voir avec mes élèves de seconde. Quand, à la fin du film, la famille se scinde en deux, j'ai pensé au jeune frère qui, à présent, va continuer avec ses parents en perdant tout ce que pouvait représenter son grand-frère pour lui. Quels sentiments peut-il ressentir face à sa vie dont la dimension est bouleversée : abandon, solitude, colère, envie, chagrin ? L'homme possède une telle richesse d'émotions possible face à une situation particulière, lesquelles prédomineront ?
Il existe des cas où je ne veux même pas imaginer une suite potentielle, car ce ne seront que des hypothèses sans valeur, car, en fait, je n'en sais rien. C'est là que je voudrais rencontrer le réalisateur et je n'aurais à ce moment-là qu'une question à lui poser qui résoudrait toutes les miennes : « Comment envisagez-vous l'avenir de vos personnages ? » Plus besoin de me creuser la tête et, d'une certaine façon, aussi idiot que cela puisse paraître, je me sentirais rassurée d'obtenir des réponses à toutes les questions qui me taraudaient.
Comment se quitter autrement qu'en musique ? Petit air aux sonorités des années soixante qui me séduit au plus haut point : All I want for Christmas. De quoi me mettre de bonne humeur dès le matin, pas vous ? Bonne journée !

14 maiBon, je n'ai pas avancé mon futur conte comme je l'aurais voulu hier, une seule page de plus. Je n'ai pas disposé de beaucoup de temps libre le matin et j'ai ressenti un petit coup de fatigue l'après-midi ! Alors, écrire dans ces conditions-là de façon efficace et prolongée, ce n'est pas la peine d'y compter. Ce ne sera pas mieux aujourd'hui après mes cinq heures de cours. Donc, un instant s'il vous plaît, je prends rendez-vous demain après mes courses hebdomadaires, mais sans certitude, rien de mieux qu'une petit tour dans un temple de la consommation pour vous épuiser en un clin d'œil ! Et puis, il me reste un paquet de copies qui n'a pas encore manifesté sa volonté de s'autocorriger ! Quel dommage ! C'est le plus grand plaisir de ma fin d'année : ne plus avoir de copies. Enfin, cette année, ce bonheur sera différé, car je termine en beauté avec celles du bac No comment !
Après le chant des oiseaux et les sonorités douces et reposantes de la nature, je vous propose une autre forme d'absence de bruit avec un film que j'avais beaucoup aimé : Les enfants du silence. L'histoire est celle d'un jeune professeur spécialisé dans l'enseignement pour personnes sourdes et malentendantes dont les méthodes pédagogiques sont totalement innovantes et très efficaces. Son chemin croise celle d'une jeune femme, sourde de naissance, qui possède, on peut le dire, un caractère très trempé. Il en tombe amoureux, mais l'amour ne suffit pas toujours à faire tomber les barrières qui séparent deux mondes ou deux modes de pensées. Par contre, il permet de surmonter les écueils ou de les contourner, voire de les aplanir, grâce à la patience, la compréhension et la capacité à se projeter dans un univers qui n'est pas le sien. À l'époque, plusieurs amis m'avaient dit que je ressemblais beaucoup à l'actrice du film. Ce qu'ils n'ont pas précisé, c'est si c'était uniquement physiquement ou également en raison de mon fichu caractère ! Extrait.
Cela reste un de mes rêves : un jour viendra (non, non, j'ai déjà trouvé mon prince charmant !), j'irai voir une aurore boréale. En film ou en photos, ces rubans lumineux mouvants accrochés dans le ciel restent un des plus beaux phénomènes de notre planète. C'est magique !
Bon courage pour votre semaine !

13 maiAuriez-vous oublié ? Nous sommes au printemps ! Et quel est le plus grand plaisir du printemps ? C'est d'être réveillé dès le lever du jour par le chant des oiseaux, bien sûr ! C'est pour cela que je vous ai déniché (bien trouvé quand on parle d'oiseaux, non ?) toute une série de chants, pour que, en plus d'être réveillé, vous ne puissiez vous rendormir avant de savoir qui chante ! Partie 1, Partie 2. J'adore ! J'ai l'impression d'être dehors alors que je suis en train de taper sur mon ordinateur ! Totalement dépaysant !
Cela me rappelle les promenades en forêt avec mon papa quand nous allions chez ma grand-mère qui habitait dans un tout petit village à l'orée de la forêt. J'ai toujours apprécié cette ambiance apaisante, un moment hors du temps et de la vie pressée, un moment où les discussions allaient bon train entre mon père et moi sur tout et sur rien. Alors, je n'ai pas résisté, si vous n'avez pas le temps d'aller à la forêt, laissez-moi la faire venir à vous : ambiance automnale, le bruit de la pluie quand vous n'avez pas réussi à rentrer avant l'averse. Il ne manque plus que le bruit de torrents qui dévalent les pentes comme lors de mes randonnées en montagne, c'est toujours un vrai bonheur d'entendre ce son chantant, léger et cristallin.
Je partage avec vous le générique de Game Of Thrones proposé par un membre du forum de Dol Celeb. Il est à la fois beau et original.
Bonne fin de week-end.

12 maiQuelques informations à partager avec vous. Comme j'ai dû vous l'annoncer, un article va paraître sur la chocolaterie de mes amis, associée à une présentation de mon livre dans le journal de Sartrouville. Le chargé des communiqués de presse m'a mise en relation avec une dame tout à fait charmante, pleine d'idées et de dynamisme, qui s'occupe du salon de livre de la jeunesse qui a lieu le 24 juin au dispensaire de Sartrouville. Au départ, je pensais que je ne cadrais pas avec l'intitulé « jeunesse » du salon puisque mon livre s'adresse à un public de lycéens voire plutôt de jeunes adultes et d'adultes. Elle m'a convaincue de son désir d'ouverture vers un public plus large que celui correspondant à ce terme et était déjà en train de réfléchir à la façon dont elle pourrait communiquer dans les différents lycées pour attirer des visiteurs plus âgés, éventuels lecteurs pour mon livre. Ayant au moins un pied dans mon lycée, je pourrai sûrement l'aider.
La tête bouillonnant d'idées, j'ai beaucoup discuté avec Didier avant de contacter Catherine et Stefan que j'avais déjà prévenus. Car nous sommes face à un défi de taille, comment vendre un livre numérique dans un salon et le dédicacer ? Bonne question, n'est-ce pas ? Et les réponses ne sont ni évidentes, ni simples. Enfin, parmi mes suggestions, j'avais déjà décidé d'écrire un conte (plutôt qu'une nouvelle) qui aurait été proposé gratuitement sur UPblisher. Je vais juste avancer sa rédaction pour le salon afin de donner une raison aux gens de venir le télécharger et découvrir le site de Catherine et Stefan tout en s'inscrivant.
Alors que raconterait mon histoire ? Il introduirait Taumt, conteur d'histoires de dragons et gardien des penseurs (de dragons, naturellement !) et présenterait la naissance du premier dragon et sa singularité par rapport aux dragons plus classiques. Mais si, vous savez bien, je ne peux jamais suivre un chemin bien tracé qui respecte codes et idées reçues. Mon plaisir à moi est d'ouvrir l'esprit sur une approche différente, de réinventer ce qui existe déjà et d'en faire un produit inédit qui suscite l'intérêt voire l'adhésion. Donc, ce matin, j'ai poursuivi son écriture que j'avais déjà vaguement commencée puisque je savais qu'il faudrait y passer et que la réflexion à ce sujet était déjà bien entamée. Mais, comme j'ai cogité une bonne partie de la nuit pour préciser mon histoire, mes idées ne sont pas aussi claires et véloces que je le souhaiterais à la lumière du jour. Enfin, presque trois pages format A4 écrites, ce n'est déjà pas si mal pour un début ! Et il sera terminé pour le 24 juin ou je mange mon chapeau !
Quand mon papa, il y a des années de cela, avait acheté une nouvelle voiture, le concessionnaire lui avait offert et installé 4 haut-parleurs. Une quadriphonie, vous n'imaginez pas, c'était géant ! Je prenais ma petite cassette (oui, oui, j'ai connu cela aussi !) sur laquelle j'avais enregistré mes titres préférés, j'empruntais la clé de sa voiture et j'allais dans le garage m'enfermer dans l'habitacle, la musique à fond (j'exagère juste un peu) pour profiter de cet extraordinaire confort musical. Mon plus beau souvenir était une chanson de Phil Collins, le magnifique Thunder & Lightning.
Quels petits voyages vous ai-je concoctés pour aujourd'hui ? Un premier regard vers quelques beautés naturelles, un premier vol avec des oiseaux et une autre façon de découvrir les montgolfières.
Bonne journée ensoleillée.

11 maiSous quel signe vais-je placer cette journée ? Celui du ciel ? Un petit coup d'œil à l'extérieur me suffit pour en identifier sa couleur actuelle : grise !
Une envie de ne plus jamais voir le gris comme avant ? Voici quelques résultats sélectionnés rien que pour vous pour ouvrir vos horizons : La vie en gris,Bouille de gris, Gris, Du gris et un petit dernier Nuances de gris. Comme quoi, derrière le gris se cachent des richesses insoupçonnées.
Maintenant, il pleut. Voilà qu'après le gris, je rêve de bleu ! Donc petite promenade bleutée avec la mer vue d'en dessous (et d'au-dessus aussi !), la Terre vue du ciel.
Voilà un article qui me laisse pensive. Le côté intéressant réside dans sa façon de passer en revue tous les coûts annexes à la création du pdf d'un livre numérique (d'où la chance infinie d'avoir un mari qui sait (presque) tout faire et des éditeurs doués de nombreux talents !). En plus, vendre un ebook à 27 euros me fait ouvrir des yeux grands comme des soucoupes ! Personnellement, le prix me paraît exorbitant pour 211 pages. Alors, son auteur a beau afficher un C.V. de « ouf », il me paraît évident qu'il existe pourtant une nuance essentielle qu'il n'a pas saisie : l'intérêt profond du numérique par rapport aux livres papier, c'est le prix. Acheter un livre 4 ou 8 euros quand il coûterait 15 à 30 euros sous un autre format est un avantage indéniable pour les grands lecteurs qui n'ont plus besoin d'attendre qu'ils passent en poche pour faire des économies. Dans ce cas, le même revenu est obtenu en vendant une plus grande quantité de livres. C'est peut-être là que le challenge est le plus difficile ; pour vendre beaucoup de livres, il faut s'être fait connaître et, croyez-en mon expérience récente, ce n'est pas facile ! De plus, quand il dit : « En clair, je gagne entre 4,8 — (blogueur affilié) et 11,9 — (vente depuis mon blog) par vente », cela me fait doucement sourire. Ne se rend-il pas compte que 11,9 — par livre est un énorme gain net ? Enfin, tant mieux pour lui si ça marche et, s'il a trouvé un bon filon, surtout qu'il le garde !
La journée ne fait que débuter, pensez à la parer des couleurs que vous aimez. Entre gris clair et gris foncé, peut-être

10 maiJe l'ai fait ! J'ai offert à ma journée toutes les nuances de la bonne humeur ! Donc mon T.P. de 1re s'est déroulé dans une ambiance légère et agréable, bien que studieuse. Je n'ai même pas râlé quand les montages ne fonctionnaient pas, c'est un signe ! Je suis partie du principe qu'à chaque problème correspond une solution qu'il suffit de trouver pour tout résoudre ! J'ai donc passé une chouette matinée et je suis repartie du lycée un sourire aux lèvres !
Je devais passer chez mes amis chocolatiers pour leur demander la date exacte de leur changement de vitrine pour notre futur petit article dans le journal de Sartrouville. Je me disais qu'à 13 heures passées, la boutique serait fermée. Même pas et je suis même tombée sur une place inespérée immédiatement ! Est-ce l'effet « journée spéciale » ? Malgré tout, j'avoue qu'il y a quand même un moment où mon sourire a vacillé. En branchant ma souris sur mon ordinateur (branchement qui me posait des problèmes depuis quelque temps), il s'est produit comme un court-circuit et tout s'est éteint. J'avais beau appuyer sur le bouton « marche », rien ! Didier n'étant pas disponible pour venir à mon secours, j'ai respiré profondément et je me suis fait un petit bilan :
- cela ne devait pas être le disque dur, cela ressemblait plutôt à un problème électrique ;
- Didier ayant déjà démonté le disque dur pour le mettre sur un autre ordinateur, je pourrai donc récupérer mes données ;
- cela allait juste être compliqué de travailler sans ordinateur
Comme je n'aime pas rester sans rien faire, je suis allée chercher un petit tournevis pour démonter les trappes, histoire de voir si le composant d'une carte électronique n'avait pas visiblement grillé : R.A.S. Il faut reconnaître que je suis particulièrement incompétente dans ce domaine, mais cela ne m'empêche pas de jeter un coup d'œil ! Après toutes ces opérations inutiles, j'ai tenté, sans conviction, de redémarrer mon outil de travail et ça a marché ! Super ! J'y croyais à peine ! Conclusion : mon petit ordinateur doit posséder un fusible de protection. Depuis, sage parmi les sages, profitant de la leçon, j'ai terminé la sauvegarde de mes données et je n'utilise plus la prise USB défectueuse. C'est fou, quand une journée doit être spéciale, elle le devient vraiment, mais pas obligatoirement comme j'aurais pu l'imaginer !
Il y a quelque temps, je vous raconterai que le chant avait occupé une place particulière dans ma vie, non que j'ai l'étoffe d'une chanteuse, même si je prends plaisir à chanter comme à écrire, même mal ! Quand j'étais plus jeune et que je vivais encore chez mes parents, il nous arrivait de passer des soirées à chanter ensemble, comme des casseroles peut-être, mais des casseroles, heureuses et fières de l'être ! Maman adorait les chansons populaires, principalement celles de sa jeunesse, tandis que mon père était plutôt un adepte de classique et de chants grégoriens, ce qui ne l'empêchait pas de connaître tout le folklore. Cela donnait des soirées animées, pleines de joies partagées, de rires et de bonne humeur.
Que chantions-nous ? Une multitude d'airs entraînants et d'autres, plus tristes, mais très beaux malgré tout comme La Complainte de la Butte, L'hirondelle du faubourg, Dans les cieux (L'aviateur). J'aimais particulièrement les chansons de Charles Trenet, si souvent rythmées et pleines de vie comme Un rien me fait chanter, Y'a d'la joie ou un rien mélancolique comme La mer et tant d'autres. Quand ceux que vous aimez ont disparu, ce sont ces souvenirs qui vous tiennent chaud au cœur les jours de grisaille et rendent votre journée spéciale, encore une fois, d'une autre façon
Le dernier cadeau que j'ai réalisé pour ma maman était un livret dont chaque page présentait les paroles des musiques qu'elle avait aimées, d'hier et d'aujourd'hui, et nous avions chanté ensemble une dernière fois. C'était juste avant qu'elle ne retombe malade. Ainsi va la vie
J'avais dégotté de belles images de la muraille de Chine que j'avais désiré vous montrer, je rattrape cet oubli.
Je vous souhaite une très bonne journée.

9 maiAujourd'hui sera un autre jour. Vous vous demandez ce qu'il aura de spécial, je vous comprends, et la réponse surprenante est : rien. Mais qu'est-ce qui m'empêche d'en faire une journée particulière ? Comment ? En m'accordant de petits moments de plaisir simple, de partage, sans culpabilité, sans excès, juste pour sourire et se sentir bien. Cela me fait penser à une chanson que j'adore de Florent Pagny : Savoir aimer. Sur son clip, il la « chante » dans le langage des signes, ce fut une idée magnifique qui donna encore plus de force aux paroles magnifiques du texte. Je l'ai interprétée une fois (très modestement), lors du départ d'une collègue que j'aimais beaucoup et je sais qu'elle a marqué les esprits, puisque plusieurs personnes m'en ont reparlé depuis. Peut-être est-ce pour cela que cette chanson me touche encore plus, parce qu'elle est liée à un moment émouvant de ma vie, mélange de joie et de tristesse avec un soupçon de mélancolie. Un extrait des paroles :
Mais savoir donner,
Donner sans reprendre,
Ne rien faire qu'apprendre
Apprendre à aimer,
Aimer sans attendre,
Aimer à tout prendre,
Apprendre à sourire,
Rien que pour le geste,
Sans vouloir le reste
Et apprendre à vivre
Et s'en aller.

Alors, qu'est-ce qui vous ferait plaisir ? Réfléchissez un peu ! Je ne peux pas répondre à votre place. Vous savez, il est possible de se satisfaire de petits riens : un papillon qui vole, une lumière chaleureuse, quelques plantations, un moment avec une copine (ou un copain), une bonne tisane ! Je suis certaine que vous êtes capable de vous réjouir de toutes ces petites choses qui font votre journée. Sachez les apprécier. Allez, venez avec moi, je vais vous emmener regarder vos problèmes avec un peu de hauteur ! Vus de l'espace, certains d'entre eux reprendront une dimension négligeable et vous pourrez les oublier. Et puis, faites-vous plaisir, ne regardez que les premières minutes de la vidéo (sur plus d'une vingtaine) ou aucune ou toutes ! Vous avez le choix et, ça, c'est une grande liberté de pouvoir choisir !
Quand le prix du livre numérique s'emballe pour de mauvaises raisons ! Les clients irlandais du Kindle d'Amazon ont eu la fâcheuse surprise de constater que leurs commandes passaient par les États-Unis plutôt que par le Royaume-Uni, d'où un net désavantage sur le coût de l'achat. Si vous voulez en savoir plus, découvrez l'article sur le site « ActuaLitté ».
Et si ce matin je me disais je suis celle par qui le numérique va se développer en France. Eh, j'ai bien le droit de plaisanter ou même de rêver ou encore de me faire des films ! Je vous rappelle que ma journée doit devenir spéciale, alors pourquoi ne pas me raconter de belles histoires, surtout quand la réalité du livre numérique est tout autre (lire article). Mais j'y crois. Les Français ont tendance à prendre leur temps avec les nouvelles technologies. Elles doivent les séduire, leur apporter plus que le livre et probablement que les conditions ne sont pas toutes encore réunies. Il faudra juste être patient, tout en leur donnant envie de s'y mettre petit à petit.
Bon mercredi et trouvez, vous aussi, le moyen d'en faire une journée spéciale ! Vous me raconterez, n'est-ce pas ? Peut-être que, finalement, le bonheur tient à peu de choses et que si nous partageons tous les moyens pour y parvenir, nous deviendrons des connaisseurs. Experts en bonheur ? Ça vous tente ? Moi, oui ! Au boulot, car aujourd'hui est devenue une journée spéciale !

8 maiEt je vais faire ce qu'il me plaît ! Enfin, quand j'aurai fini tout mon travail, c'est-à-dire sur les dernières heures de ma journée, c'est déjà ça ! Bonne journée fériée à tous ceux en profitent ! En espérant pour vous quelques rayons de soleil qui, selon la météo, ne viendront pas jusqu'à chez moi, dommage.
Ma formule du jour : « Je ne cherche pas à être connue, mais je gagne à l'être ». N'est-ce pas mignon ? C'est tout moi ! C'est incroyable toutes ces idées qui me passent par la tête.
Alors, qu'avez-vous prévu pour cette journée ? Un brin de détente, un peu de cuisine, un bon bouquin, une promenade en ciré. Vous savez, depuis que je vous ai parlé de Giverny, je rêve d'y retourner. Malheureusement, avec ce temps fort aléatoire, je préfère attendre encore un peu. Cependant, je le garde dans un coin de ma mémoire en prévision des jours meilleurs !
Cherchons à nous dépayser. Je vous invite à découvrir un pays que j'ai beaucoup aimé : la Chine. Je m'y suis rendue il y a fort longtemps, en 89, juste après les événements de Tian'An men. D'ailleurs, les touristes ne se bousculaient pas au portillon à cette époque et nous avions également hésité à partir au regard de ce qui se produisait là-bas. Finalement, nous nous sommes décidés, profitant d'un taux de change au noir très intéressant. J'ai de magnifiques souvenirs de cette balade en Asie : la grande muraille de Chine, la rivière Guilin, Pékin avec la cité interdite, mais aussi des souvenirs culinaires extraordinaires.
Par exemple, je me souviens de cette virée humide dont nous revenions plutôt tardivement pour un déjeuner. Le guide qui nous accompagnait nous avait emmenés chez un ami à lui, qui a rouvert le restaurant pour le groupe que nous étions et nous nous sommes régalés des plats presque minute qu'il nous avait préparés. Je me souviens aussi d'une sortie extraordinaire dans le fameux parc de Pékin, Beihai, où se situe un restaurant dans lequel sont servis les mets de l'empereur : un véritable régal ! Pour moi, tout cela a commencé comme une soirée extraordinaire, une visite du parc avec ses pièces d'eau couvertes de lotus. J'avais l'impression irremplaçable de flotter sur un petit nuage et même l'humeur grincheuse de certains membres du groupe n'arrivait pas à m'atteindre. Que me restait-il à attendre d'un tel moment de grâce ? Une promenade romantique pour partager ce moment hors du temps avec l'homme que j'aimais. C'est là que tout s'est gâté. L'homme en question avait choisi de photographier tout ce qui bougeait et a donc décidé que je n'étais qu'un objet secondaire qu'il fallait plutôt écarter du champ de son viseur que l'inverse. Ma soirée rêvée s'est poursuivie dans une solitude désespérante et, tant qu'à disparaître, j'ai même failli retourner sans lui à l'hôtel. Son arrivée in extremis nous a permis de repartir ensemble au milieu de la nuit, mais l'ambiance, surtout de mon côté, était plus que glaciale. Pour clore cette histoire, nous avons fini devant la porte close de notre chambre inaccessible, car l'un et l'autre avaient oublié la clé magnétique à l'intérieur avant notre départ. Comme l'hôtel ne disposait pas de double, son personnel n'a pas fait dans la dentelle pour parvenir à ouvrir la porte qui nous condamnait à l'exil. Entre temps, nous nous sommes fait offrir un verre par un voyageur de commerce coréen qui s'ennuyait ferme loin de sa famille et de son pays. Heureusement qu'il a fait la conversation tout seul !
Après cette anecdote tellement passionnante (!), les petits plus : l'histoire de la cité interdite, parties 1, 2, 3, puis celle de la muraille de Chine, parties 1, 2 et 3, les belles images de Douceur de Chine.
C'est fini pour aujourd'hui ! Bonne journée !

7 maiJ'ai enfin pris le temps de faire une des deux nouvelles rubriques que je voulais ajouter ! Découvrez donc de nouvelles photos associées à une présentation des personnages principaux (comme sur Facebook) qui pose plus de questions qu'elle n'accorde de réponses. Alors, qu'en pensez-vous ? Je suis toujours soucieuse de votre avis, n'hésitez pas à le partager en utilisant le bouton « contact » sur la ligne du bas. Faites un copier-coller de l'adresse dans votre messagerie si vous n'êtes pas un adepte de « Outlook » sans oublier de changer les mots par les symboles correspondants.
Un petit tour dans le monde des dessins animés avec la chanson de Shrek, HALLELUJAH. Ce film est une vraie perle qui casse les codes Disney (très soft) en prenant un ogre avec tout ce qui le caractérise (rot, pet, boue, etc.) comme héros, un choix audacieux qui nous a valu quatre volets pleins de charme et d'ironie. Ma préférence va au dernier, ce qui a d'ailleurs amené des discussions animées avec mon fils qui le trouve trop sentimental, bah ! Bon, vous savez déjà que ce n'est pas ce qui me dérange le plus. L'idée que Shrek, ogre par essence, enfermé dans un univers familial casanier qui l'étouffe, aspire à une journée pour souffler est séduisante (et tellement masculine ?). Voilà, benêt berné, qu'il se retrouve projeté dans un monde dans lequel il n'a jamais existé et qu'il ne dispose que d'une journée pour séduire la femme qu'il aime, mais qui ignore qui il est. C'est un défi plus qu'intéressant, susceptible de redonner à des couples qui s'essoufflent un nouveau départ et de rappeler à chaque partenaire pourquoi ils se sont aimés. C'est d'ailleurs comme cela que se conclut le film, ce qui fait dire « Bah » à mon fils auquel je renvoie un « Mmmm ». C'est tellement beau quand Shrek dit à Fiona : « J'ai toujours cru que je t'avais sauvée le jour où je t'ai libérée de ta chambre. [réponse de Fiona : c'est le cas] Non, celui qui a été sauvé, c'est moi. ». Finalement, la sagesse populaire a raison, nous ne nous rendons vraiment compte de la chance qui est la nôtre que lorsque nous sommes sur le point de la perdre. Quand je vous dis qu'il faut savoir profiter des bonheurs quotidiens !
Présentation des bandes-annonces : Shrek, Shrek 2, Shrek le troisième et Il était une fin et, pour l'aspect musical, All Star et It is I have loved. En plus, maintenant, le Chat Potté joue en solo, voir extrait. C'est mignon, mais moins intéressant qu'avec ses comparses l'Âne et Shrek.
Juste pour le plaisir, quelques papillons aux couleurs extraordinaires. Je n'ai jamais cherché à comprendre pourquoi ils me plaisaient autant. Peut-être est-ce lié à leur vol léger et gracieux ou aux découpes dentelées de leurs ailes ou même à l'originalité et à la variété des motifs qui recouvrent ces dernières, sûrement tout cela à la fois. Ils me donnent une impression de liberté totale (que cela doit être chouette de pouvoir voler de ses propres ailes !), une maîtrise de l'espace et l'art extraordinaire d'être en harmonie avec la nature tout en étant éclatants de beauté. Voici un site très complet sur les papillons de France. Je viens de découvrir que celui de ma couverture que j'ai pris en photo dans la campagne française est un Papilio machaon ou Grand porte-queue. Enfin, je crois ! Pour terminer, pour ceux qui ne sont pas pressés (9 minutes), voici la sortie de sa chrysalide par un papillon Monarque, très beau papillon et très belle naissance
Bonne journée !

6 maiAprès la pluie, le beau temps. Et quelquefois, c'est l'inverse ! Quelle difficulté de se retrouver parfois dans ce temps inconstant : chaud, froid, soleil, pluie. Je suis donc partie à la recherche d'un magnifique orage à partager avec vous ! Mais quelle idée me direz-vous, c'est bien ce que j'ai pensé, comme vous, mais, aussi bizarre que cela puisse vous paraître, il y a de très belles vidéos sur les orages qui montrent les mouvements des nuages dont les couleurs s'assombrissent alors qu'ils deviennent menaçants, le bruit du tonnerre et du vent ainsi que les éclairs qui zèbrent le ciel jusqu'au crépitement violent de la pluie. La vie semble se figer, même si la végétation se courbe sous le souffle du vent et je viens de découvrir que j'aime le claquement de cette pluie qui ne m'est pas destinée. Vous savez quoi, finalement, c'est très beau à regarder et même à écouter, surtout quand je ne suis pas dessous ! Les plus beaux orages que j'ai trouvés sont tournés par la Maison des Bruyères et ce sont aussi les plus longs. Je savais que cela allait vous faire plaisir ! Prenez le temps d'observer la formation de l'orage, l'évolution des nuages, le grondement qui résonne, annonciateur du déferlement qui va suivre. Dans le premier, j'ai apprécié les ondulations de la nature sous la force des intempéries et, dans le deuxième, ce sont les mouvements des nuages, magnifiques et impressionnants.
Interlude ! C'est une chanson que ma grande fille écoutait en boucle il y a déjà quelques années et que j'avais trouvée rigolote : Caramelldansen. Pas facile, par contre, de trouver des images qui valent le déplacement pour agrémenter le tout, alors je l'ai choisie pour les amateurs de mangas !
Marilyn Monroe C'est une femme qui m'a toujours intéressée. D'abord, parce que je la trouvais belle, bien des loin des critères de platitude actuels qui circulent sur les podiums. La mode est au rayonnement personnel totalement intériorisé, à tel point qu'il en devient imperceptible, voire improbable. Le monde de la mode s'en réjouit et je m'en désespère. Des femmes qui ressemblent à des ombres plus qu'à des êtres vivants ne présentent aucun intérêt pour moi. J'aime la vie, l'énergie positive, les sourires, le partage par le regard, la vie qui circule, le rayonnement extériorisé. Oui, oui, je sais, c'est tout moi, hors de la norme actuelle, voire hors du temps et totalement indémodable, car toujours démodée ! Profitez de cette magnifique chanson tirée du film La rivière sans retour (film américain réalisé par Otto Preminger de 1954) avec cette femme presque fatale à la voix chaude et intense, tout à la fois émouvante et fascinante. Partagez avec moi ces quelques minutes à la regarder avec délectation et à profiter de cette River with no return pleine de profondeur.
Et voici ce qui peut se produire outre-Manche et que nous ne sommes pas prêts de voir en France : un homme raconte qu'il a été lâché par son éditeur, faute de rentabilité, cinq ans après des débuts plus que prometteurs. Il récupère les droits de ses ouvrages en 2009 et se décide à publier ses œuvres sous forme numérique. Aujourd'hui, il a même la chance de vivre de son talent, quelle chance ! À découvrir absolument ! Eh ! Pour que j'en arrive là, il va falloir faire de la publicité pour moi !
Bon dimanche à tous !

5 maiBesoin d'évasion pour ce week-end placé sous le signe de la versatilité ? Allez, que puis-je bien vous proposer ? Un survol du Mont Blanc (4 810 m), un détour par le Pacifique sud ou un voyage à travers l'univers. Avez-vous remarqué que, dans l'infiniment grand, alternent des moments de relatives activités avec d'autres plus animés en fonction de la densité des objets célestes ?
Pourquoi est-ce que je vous invite à chaque fois dans des voyages virtuels ? Car j'aime les images, les couleurs, les paysages et le rêve qu'ils font naître dans mon esprit. J'aime ce qui m'entraîne sur des chemins inconnus, alors qu'ils m'offrent un univers infini, parfois totalement inédit. Et voici, à ma portée, une envie de réinventer le monde. Pourquoi donc se priver d'une telle félicité ?
Comme chaque fois que je lis un article sur les grandes maisons d'édition actuelles et le développement des livres numériques, je me dis que le chemin sera long pour parvenir à changer les mentalités. L'idée n'est pas que tout le monde se mette au numérique, je respecte tout à fait la préférence papier d'un grand nombre de lecteurs, je me dis simplement qu'il existe également un grand nombre de personnes qui seraient susceptibles de basculer du papier vers le numérique parce qu'ils ne possèdent pas cet amour du papier tellement incontournable pour certains. Alors, qu'est-ce qui les arrête ?
Savoir trouver les livres ? Il est vrai que la multiplicité des propositions rend le choix difficile. Pourquoi telle maison d'édition numérique plutôt qu'une autre ? Comment juger de sa fiabilité et de la qualité de ses œuvres ? C'est vrai que le livre papier possède cet avantage indéniable de pouvoir être feuilleté ; ce toucher offre une forme d'accroche entre lui et la personne susceptible de succomber à ses charmes. Majoritairement, la présentation d'un livre numérique ne suscite pas le même genre de ressentis, cela se fait de façon moins intuitive, simplement parce que l'habitude n'est pas prise et que nous devons encore évoluer dans notre façon d'appréhender ce nouvel environnement.
La peur de perdre ses données ? Nous avons tous rencontré, malheureusement, la destruction de documents liée à un disque dur soudainement devenu récalcitrant, voire en arrêt cardiaque immédiat ! Je me souviens d'une fois où mon ordi a cessé tout d'un coup de fonctionner avec tout mon travail, photos, etc. à l'intérieur. Succession d'essais infructueux pour le relancer avec la tension qui monte et, d'un coup, il se remet en marche ! Il est resté allumé plusieurs heures, le temps de récupérer tout ce qui était possible de l'être. Puis, quand je l'ai éteint une nouvelle fois, il n'a plus jamais voulu se rallumer. Ce jour-là, il devait scintiller dans le ciel une bonne étoile pour moi ! Depuis je fais régulièrement des sauvegardes, mais je sais qu'elles ne sont jamais assez fréquentes pour me protéger de tout et mon travail est à la fois sur mon ordinateur et sur ma clé USB, celle que je porte à mon cou pour aller au lycée, étant donné que je propose des présentations à mes élèves.
Chez UPblisher, Catherine et Stefan ont trouvé une astuce pour éviter une perte définitive, votre achat est sur votre compte et vous pouvez le télécharger une nouvelle fois en cas de besoin.
Voici un article intéressant d'une personne qui a collaboré à « MyMajorCompanyBooks » qui offre un financement participatif pour éditer des œuvres nouvelles et son avis est plutôt négatif. Il met surtout en lien les relations existant entre la maison d'édition « XO » et les livres mis en avant sur la plate-forme. D'un point de vue purement factuel, il est clair que XO a élaboré une excellente stratégie pour promouvoir les œuvres qu'elle avait choisies et sans risque puisque financées par d'autres. D'un point de vue beaucoup plus humain, ce sont sûrement des centaines d'espoirs qui ont été réduits à néant, tant chez ceux qui ont cru contribuer à la sortie d'un ou plusieurs livres que chez les écrivains qui ont pensé pouvoir se promouvoir ainsi. Je pourrais n'être qu'un de ces écrivaillons dont parle l'auteur de l'article, à un détail près, je ne serais certainement pas aller jusqu'à m'entredéchirer avec d'autres. Son article indique une fermeture de la plate-forme qui n'apparaît cependant pas sur leur site.
Profitez bien de ces deux jours de week-end, que vous ayez du travail ou pas !

4 maiDernier jour avant le week-end ! C'est vrai que les dernières vacances ou le dernier jour férié remontent à loin !
Saviez-vous qu'il existe une version en dessin animé du seigneur des anneaux ? Réalisée par Ralph Bakshi pour United Artists, elle est sortie au cinéma en 1978. C'est une adaptation partielle, car, en raison de son relatif échec commercial, la suite ne fut pas réalisée.
Si vous maîtrisez l'anglais, voici la version originale et si, comme moi, vous vous sentez plus à l'aise en français, voici plusieurs morceaux (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10) en version incomplète, car il manque la fin ! Mais, pour les amateurs, c'est mieux que rien et elle vous reste, visuellement tout du moins, accessible en anglais. Cette version, remarquable par sa fidélité aux écrits de Tolkien, présente un niveau d'animation à l'allure peut-être vieillotte si vous la comparez à celles produites aujourd'hui. La représentation des « humains » est très proche de la réalité et les effets plutôt bien utilisés pour les combats. Personnellement, cela ne me choque pas, car il reste dans les techniques des dessins animés de cette époque-là que j'ai beaucoup fréquentés ! Pour l'apprécier, il faut savoir le regarder avec d'autres yeux, sans attendre un copier-coller du savoir-faire actuel Et voici la bande-annonce du futur Bilbo le Hobbit (qui, d'ailleurs, s'appelait Bilbon initialement).
Une autre découverte avec le film Dreamgirls de Bill Condon (avec Beyoncé Knowles) sur lequel je suis tombée par hasard en zappant ! Eh oui, il existe des zappings heureux ! Il raconte l'histoire de trois chanteuses noires qui forment dans un groupe et cherchent à percer. Elles se retrouvent à jouer les chœurs derrière le beau gosse du moment joué par Eddy Murphy avant de former un groupe à part entière avec, malheureusement pour l'une d'elles, des variations de composition. Voici mon titre préféré, family, suivi par la voix extraordinaire de Jennifer Hudson dans I am telling you I'm not going, le genre de timbre à me donner des frissons de délices. Pour que le panorama soit complet, trois titres supplémentaires pour parcourir les talents multiples de ces demoiselles : We're your dreamgirls et Hard to say Goodbye et le final, moment où le manager du groupe découvre que celle qu'il a chassée du groupe et avec laquelle il avait une liaison a une petite fille assez grande pour être la sienne
Quand je lis un article tel que celui-ci sur certaines relations auteur-éditeur, je me dis que j'ai beaucoup de chance d'être éditée chez UPblisher ! Un petit bonjour à Catherine et Stefan et un grand merci !
Bon week-end.

3 maiÇa y est ! J'ai fait ma première interview ! Je ne vous dis pas combien je me suis angoissée avant. Eh ! Vous en avez de bonnes, j'avance en terrain inconnu, moi ! Je ne savais pas à quoi m'attendre. À ma grande chance, je suis tombée sur un homme jeune, très gentil et très professionnel. Il a juste eu un défaut, il a voulu me prendre en photo ! Bon, il faudra que je fasse avec. En conclusion, vous découvrirez un portrait de mes débuts d'auteure dans le « Courrier des Yvelines » plutôt le 16 mai que le 9 ! Dans tous les bons kiosques !
C'est décidé, aujourd'hui, je vous montre que je n'aime pas que la musique celtique ! Je suis une grande fan de rock et, principalement, celui des années soixante voire des années cinquante. Oh la la, cela ne me rajeunit pas ! J'entendais une toute jeune fille qualifier ce style de rythme de « musique pour les vieux » ! Bon, ça y est, je suis cataloguée, mais, entre nous, j'adore être une rockeuse « has been », parce que je le vaux bien !
Voici deux morceaux cultes pour vous le prouver : Rock Around The Clock et Do You Love Me. Cette dernière chanson me rappelle un film que mon petit cœur sentimental a adoré : Dirty Dancing et je ne résiste pas au plaisir de vous faire retrouver le vôtre le temps de son final !
À présent, une petite balade à Vienne sur un air qui nous vient du fin fond de la galaxie ! Allez, passons en vitesse lumière sans oublier le détour par les jardins du palais de Schönbrunn avec la magnifique Gloriette qui les surplombe, histoire de mélanger le passé et le futur, les têtes couronnées qu'aucune époque ne démode. Venez vivre la fusion de ces deux mondes sous la forme du thème de Star Wars interprétée par l'orchestre philharmonique de Vienne !
Vienne et l'Autriche, beaucoup de souvenirs pour moi qui ai parcouru ce pays bien des années auparavant. Je vous propose donc une visite guidée à travers cette ville historique dont l'histoire est liée à celle de la famille des Habsbourg et à la fascinante impératrice Élisabeth (Sissi).
À demain.

2 mai« En mai, fais ce qu'il te plaît ! » Donc, c'est décidé, dès maintenant, je ne fais plus que ce qui me fait plaisir ! Combien de temps croyez-vous que je vais tenir ? Allez, soyons positifs ! Le temps au moins de rédiger ce blog !
Quelles sont les nouvelles sur la planète numérique ? Le nivellement des prix des liseuses par le bas, mais pas leur qualité. C'est finalement une bonne idée, car la liseuse Kobo by Fnac voit son prix abaissé de 30 euros. Avantage par rapport au Kindle d'Amazon : sa navigation tactile. Inconvénient : elle n'a malheureusement pas à sa disposition une bibliothèque de livres numériques aussi riche que celle d'Amazon mais cela viendra peut-être ! Elle pourrait peut-être s'intéresser à de nouveaux venus dans le domaine de l'e-édition pour proposer des œuvres inédites. Il existe également tellement d'auteurs à la recherche d'un éditeur et, parmi eux, se cachent obligatoirement des perles qui ont été jusqu'alors ignorées. Beaucoup de chemins pour se développer restent encore à explorer, seulement, pour y parvenir, il faudra savoir sortir des sentiers battus
Vous allez croire que je suis encore sous le charme celtique, mais pas tout à fait, la musique, quand elle est présente, ne fait qu'accompagner le rythme des pieds qui vous porte dans cette danse. C'est magnifique ! Je ressens intensément la communion qui existe, d'une part, entre tous les danseurs et, d'autre part, entre chaque danseur et le rythme effréné de cette ballade. Et puis, quelle légèreté ! C'est 10 ans de moins que je voudrais, voire plus si affinités ! Cela me rappelle que cela fait plusieurs semaines que je ne suis pas allée à la Country, snif.
Parce que je suis toujours sensible à la beauté des lieux et des images, voici une magnifique vidéo sur le Canada que m'a envoyée mon tonton préféré (c'est le seul que j'ai et ce n'est même pas tout à fait le mien, c'est celui de Didier) ! Et une pensée pour mon amie Nancy qui vit dans le Saskatchewan !

1 maiVoici un beau symbole à ne pas oublier : le muguet du premier mai. Quelques clochettes fragiles sur une tige gracile, protégée par deux grandes feuilles élancées à la pointe acérée et rien que du plaisir à les regarder Alors, par ces temps difficiles, permettez-moi d'en partager quelques brins avec vous. Le quotidien nous échappe quelquefois et il faut souvent se battre pour continuer, je pense simplement qu'il faut surtout garder espoir, car c'est grâce à lui que la vie reprend tout son sens, malgré les écueils qui ne cessent de se former sur notre chemin. Je vous souhaite donc à tous beaucoup de bonheur. Sachez redonner à chaque écueil la dimension qui est la sienne et, à chaque petite joie quotidienne, la chance que vous avez de l'avoir vécue. Tous ces moments qui font du bien à l'être, aussi petits soient-ils, ne doivent en rien être oubliés, négligés, car ce sont eux qui constituent notre réserve d'optimisme pour faire face aux imprévus plein de noirceurs. Prenez le temps de vivre chaque instant de bonheur, de vous ouvrir à lui et souriez vous êtes filmés !
« Le seigneur des anneaux », voici un livre que j'ai aimé à double titre. D'abord parce qu'il a été l'une de mes premières lectures dans le genre et que j'en garde un souvenir extraordinaire, une sorte d'initiation à une autre façon de concevoir le récit qui m'a transportée. C'est sûrement avec cette trilogie que sont nées mes premières amours pour la fantasy. Cet univers aux tendances médiévales, un mélange des genres puisqu'on y retrouve une partie des créatures de fantasy (elfes, nains, magicien, orques) plus une : les Hobbits ! Ce fut un choix de maître, la création de cette forme inédite de vie entre le nain et l'homme, tout un programme ! J'ai adoré la richesse de ce monde, le pouvoir maléfique de l'anneau dont la destruction semble presque impossible, cette obscurité pesante qui enveloppe les hommes et nous fait craindre le pire. Ce qui fait la qualité d'un livre, ce sont toutes les sensations qu'il vous inspire : la peur, le chagrin, la joie, la curiosité Plus vous le vivez physiquement, plus il s'inscrit en vous de façon indélébile et plus vous aurez plaisir à le relire !
Je vous disais donc que j'avais aimé ce livre à double titre, car, contrairement à ce que je ressens majoritairement lors du passage du roman au film, j'ai adoré la version cinématographique. Elle aussi m'a transportée ! Des paysages magnifiques, une atmosphère particulière, des acteurs qui n'en étaient plus et, comme pour le livre, des frémissements de crainte, de contentement ou d'émotion C'est un univers dans lequel je retourne chaque fois avec le même plaisir. Et, parce qu'une journée sans musique est comme un jour sans soleil, voici un petit extrait musical pour régaler à la fois vos yeux, vos oreilles et votre sensibilité ! Oui, oui, je sais, j'ai quelques difficultés à me soustraire aux influences celtiques (à moins que ce ne soit elfiques !) ces derniers temps !
Maintenant, au boulot ! Enfin, vous, je ne sais pas, mais moi, si ! Profitez bien cette journée ! Faites-vous plaisir et souriez !




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